5G: la vraie épidémie qui nous menace ?
Chère lectrice, cher lecteur,
Aujourd’hui, il suffit que vous posiez quelques questions qui fâchent pour qu’on vous traite de « complotiste ».
Les complots ont toujours existé. A l’origine, ils désignaient les factions qui se battaient dans l’ombre pour renverser le pouvoir1.
Aujourd’hui, une grande partie de la population ne croit plus en la politique et ne fait plus confiance ni aux élus, ni aux médias.
Je peux comprendre qu’on veuille se forger sa propre, opinion, qu’on cherche à comprendre « qui est vraiment aux manettes ».
Et cela s’applique aussi au domaine de la santé.
Personnellement, je ne peux que m’interroger sur le fait qu’on diminue nos libertés – dont celles de bouger et de respirer, essentielles à notre santé – pour des mesures préventives pour le moins contreproductives.
D’où mon interrogation, qui prolonge celle du titre de l’excellent ouvrage du professeur Péronne : Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas faite ?
Mais en tant que médecin, héritier d’une tradition issue de la Grèce antique, je privilégie une valeur par-dessus tout :
La rationalité.
Il est essentiel de poser un regard critique sur le monde et l’actualité, en gardant à l’esprit cette valeur qui sert de garde-fou.
Le discours que je vais vous tenir est extrêmement critique et demande une certaine ouverture d’esprit.
Une épidémie qui pose bien des questions
Début 2020, une épidémie appelée Covid-19 fait son apparition. La mortalité relevée par les autorités chinoises est très faible, mais l’épidémie se répand apparemment vite.
Agnès Buzyn, ministre française de la Santé, n’interrompt pas les liaisons aériennes avec la Chine2. Idem pour les autorisations de visas qui continuent d’être délivrées3. Elle se contente de poser des affichettes dans les aéroports4.
Plus tard, dans une interview pour le Monde, elle admet avoir été au courant que l’épidémie serait une catastrophe. Pire encore, elle reconnaît n’avoir rien fait de concret pour l’empêcher d’arriver5.
Dans la même période, la porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a expliqué que le masque ne servait à rien et qu’il était trop compliqué à utiliser6.
Les Français l’ont bien compris : ce discours sur les masques, complètement à l’opposé de l’obligation actuelle, était bien opportun. Il servait à atténuer la faute de l’Etat, qui n’avait pas renouvelé ses stocks.
L’hydroxychloroquine, qui a été reconnue comme un traitement efficace contre l’infection dès les premières parutions chinoises7, a été interdite par Olivier Véran le 27 mars, alors que ce médicament était encore en vente libre début janvier8.
Puis, les praticiens qui ont ouvertement prescrit l’hydroxychloroquine ont été menacés de poursuite par l’ordre des médecins.
Pourtant, le personnel des hôpitaux9 et l’armée ont continué à prendre de l’hydroxychloroquine, selon les directives officielles10.
Le gouvernement, du jour au lendemain, décrète le confinement ; méthode employée par le gouvernement chinois totalitaire.
C’était peut-être une bonne technique pour lutter contre les épidémies de la peste, mais ses effets sont plus que douteux et notamment sur l’économie.
La Suède ne l’a pas adoptée. Même chose que les masques, et elle n’a pas connu une mortalité très supérieure à la France.
La Suède n’a aujourd’hui plus AUCUN mort de l’épidémie.
A la sortie du confinement, le gouvernement décide peu à peu d’obliger la population à porter le masque qui en plus d’être une muselière est un vrai nid à microbes.
Il devient obligatoire dans les commerces, dans les institutions publiques et même en extérieur dans les grandes villes.
La peur est répandue par les médias qui relayent un nombre de cas toujours croissant. Or le test de la Covid est fiable à 70% au maximum11.
De plus, le nombre de morts reste relativement faible, avec une moyenne de 10 par jour pendant l’été12.
D’autant que sur les 30 000 morts que l’on compte en France, il n’y a aucun moyen de distinguer les morts de la pandémie, de ceux de la grippe saisonnière.
La COVID-19 : le virus masqué
Revenons au début des faits et tentons une explication.
Qu’est-ce qu’une maladie virale ou bactérienne ?
C’est la relation qui est faite entre un agent pathogène et un certain nombre de symptômes précis.
Cette corrélation est établie selon un protocole appelé les postulats de Koch.
Le principe est très simple : il suffit d’extirper l’agent infectieux du corps du malade, de le mettre dans une éprouvette, et de le ressortir pour l’administrer à un corps sain.
Si le corps sain développe exactement les mêmes symptômes que le premier malade, c’est que c’est la même maladie.
Le coronavirus est incapable de passer les postulats de Koch. On lui attribue tellement de symptômes qu’on ne sait même pas exactement ce qu’il est.
Répétons-le : une maladie, c’est un nombre déterminé de symptômes attribués à un agent pathogène précis.
Une maladie a une identité. Elle ne peut pas se manifester par des symptômes différents pour chaque personne. Or les symptômes de la Covid-19 sont très nombreux13, selon le célèbre British Medical Journal lui-même.
Qui peut prétendre alors qu’il n’y a qu’une seule maladie ?
Et si ces symptômes étaient liés à un tout autre facteur ?
5G et COVID-19 : une liaison dangereuse ?
Le déploiement de la 5G, attendu en France à partir de la fin de l’année, fait grand bruit.
On nous promet une vraie révolution technologique.
Mais des voix s’élèvent aussi pour poser les questions qui dérangent et qui inquiètent.
A Wuhan, la pandémie est apparue peu après la mise en place d’un réseau 5G de 10 000 tours relais. C’est le journal chinois Xinhua.net qui nous l’apprend14.
Les micro-ondes augmentent la température du corps en créant une fièvre artificielle, qui est le symptôme premier de la « pandémie ». Mais elles peuvent aussi provoquer des difficultés respiratoires, considérées aussi comme un symptôme principal de la COVID-19.
Par ailleurs, nous savons, par de nombreuses sources officielles, telles que :
- Les normes internationales15;
- Le bureau national américain de l’environnement16;
- Les études militaires faites pendant la Seconde Guerre mondiale17;
- Un rapport de la CIA18;
que les micro-ondes, utilisées par la nouvelle technologie de communication 5 sont extrêmement nocives pour le corps humain.
Ces études mentionnent par exemple un affaiblissement des défenses immunitaires, et une perte durable de la fécondité, très inquiétants pour notre avenir.
N’oublions pas, évidemment, les risques de cancer sur le long terme, comme l’ont établi le rapport BioInitiative19 et les travaux de Martin Pall, professeur émérite de biochimie à l’université d’Etat de Washington20.
Mais nul besoin d’avoir fait de longues années d’études pour savoir que les ondes sont nocives.
Tout le monde sait qu’un four à micro-ondes, parce qu’il produit de la chaleur, est potentiellement dangereux.
D’ailleurs, il est établi par les scientifiques eux-mêmes qu’au-delà de 15 Watts par kilogramme, n’importe quel être humain décède immédiatement de ces ondes, même dans leur spectre de fréquence le plus faible (autour de 3GHz).
Or, notre environnement sera bientôt saturé de ces ondes, car tous les objets électroniques à venir, de votre voiture à votre toaster, seront connectés à la 5G, sans même que vous puissiez l’en empêcher.
Certes, nous n’atteindrons pas le niveau mortel de 15W/kg, mais nous augmenterons considérablement le nombre de Watts par centimètre carré de notre peau, avec tous ces objets qui nous environnent.
Et nous y serons exposés tout le temps, partout.
C’est un fait indéniable : les antennes 5G n’ont pas arrêté de fleurir depuis le début de la pandémie, et il ne se passe pas une nuit sans que de nouvelles antennes « poussent comme des champignons ».
Le phénomène est particulièrement visible lorsque vous prenez l’autoroute.
Là où il n’y avait pas une seule de ces antennes en janvier dernier, il y en a maintenant autour de chaque ville, de chaque aire, et de chaque station-service.
Un de mes proches a fait une expérience simple. Une nuit, alors qu’il dormait à l’hôtel, il a ressenti l’essentiel des symptômes de la covid-19. Le lendemain ? Plus rien. Sur le toit de l’hôtel, il y avait une antenne 5G.
Après test, il n’était pas positif à la maladie.
Pour résumer :
Il est impossible de dire ce qu’est exactement la Covid-19 et les symptômes qu’il provoque.
En revanche, ce dont nous sommes sûrs, c’est que la 5G provoque de terribles dégâts sur notre santé.
C’est pourquoi, je vous en parlerai plus en détail dans ma prochaine lettre.
Surveillez bien votre messagerie !
D’ici là, portez-vous bien, et n’hésitez pas à partager.
Dr. Thierry Schmitz
Merci Dr Schmitz pour cette 1ere lettre sur la 5G.
Votre clairvoyance, votre esprit critique et votre honnêteté intellectuelle vous honorent.
Merci de partager avec le grand nombre les informations précieuses que vous avez.
Je continurai à vous lire avec grande attention (tout comme j’ai suivi votre Parcours Jouvence)
Bien à vous.
Rémi le Pennec – Lyon
Bonjour docteur,
Si votre théorie sur la 5G est vraie, alors comment expliquez vous que le nombre de décès du au covid-19 a très fortement baissé alors que les antennes 5G sont toujours là et se développent ??.
Bien cordialement
DL