Chère lectrice, cher lecteur,

Il y a quelques jours, je descends l’escalier de chez moi et je tombe sur mon facteur qui fait comme s’il ne m’avait pas vu…

Je me dis que c’est bizarre, et je commence à le scruter d’un œil un peu plus expert, en lui lançant un « bonjour » appuyé.

Il me répond distraitement… comme envoûté par les passionnantes enveloppes qu’il tient entre ses mains.

Je recule d’un pas, et là je vois ce qu’il ne voulait pas que je voie :

Ses yeux sont rouges, presque violets. L’auréole qui les environne est impressionnante. J’en suis presque à reculer…

Qu’est-il arrivé à mon facteur ?

Sur le coup, je me dis : peut-être a-t-il eu une altercation avec sa femme, peut-être a-t-il pleuré toute la nuit ? Un garçon si musclé, tout de même ?

J’allais lui demander si tout allait bien, quand…

…je l’ai vu poser à toute vitesse le contenu de ses mains sur le meuble des boîtes aux lettres, et il s’est détourné, vif comme l’éclair.

Alors a commencé un éternuement comme j’en avais rarement entendu, profond et bruyant comme le tonnerre.

« Laissez-moi regarder, je vous prie… » lui intimais-je d’un air sérieux.

• Non, laissez docteur, ce n’est pas grave, je vous assure. Ce n’est qu’un bête rhume des foins me dit-il.
• C’est un SACRÉ rhume des foins, vous voulez dire !
• Eh ! que voulez-vous que j’y fasse, il n’y a pas de remède contre ça ! Et puis ça ne date pas d’hier !… Je suis comme ça depuis tout petit.
• Mais j’ai l’impression que ça vous ennuie plus qu’avant…
• Et comment, docteur ! Je n’en trouve plus le sommeil, et ma femme, ma petite femme a exigé que j’aille dormir sur le canapé ! »

Comme quoi le rouge de ses yeux n’était peut-être pas dû qu’à cet étrange mal qui passe trop souvent pour incurable.

• Et si je vous disais que j’ai quelque chose de très efficace contre le rhume des foins ?
• Au point de le faire partir ?!

Il me regardait comme Lazare le Christ. Il me fallut un peu tempérer ses ardeurs…

• Déjà commençons pas réduire, puis réduire encore. Jusqu’au moment où vous ne le sentirez plus…
• Ça s’appelle guérir, docteur !
• Commençons le traitement, et vous m’en direz des nouvelles…

De pire en pire chaque année

Il y a encore quelques années, c’était un peu original d’avoir un rhume des foins, et de le subir violemment. C’est devenu maintenant tout à fait ordinaire…. Car les allergies respiratoires ont doublé en 20 ans.

Pour une fois, je ne vous dirais pas le contraire : plus de carbone dans l’atmosphère fait produire aux plantes plus de pollen.

Plus de pollen signifie plus d’irritations, plus d’allergies.

Aujourd’hui, ce sont 30% des Français qui souffrent de cette allergie respiratoire qui donne le « rhume des foins » mais aussi de l’asthme, ainsi que tout un tas de conséquences gastriques et insomniaques peu agréables.

Lorsque l’affection devient grave (et elle tend de plus en plus à le devenir, car les défenses immunitaires de la population diminuent chaque année un peu plus) cela peut même conduire à des problèmes cardiaques.

Or d’ici 20 ans, ce sera la moitié de la population qui sera sujette aux allergies respiratoires, d’après l’organisation mondiale de la santé.

Et cela, malheureusement, n’est pas dû seulement aux arbres qui pollinisent peu ou prou au printemps.

Il est vrai que d’autres plantes peuvent aussi provoquer des réactions allergiques, notamment les herbacées qui poussent jusqu’à l’automne.

Le problème est principalement la réaction à l’histamine.

Une allergie, ça s’explique

Si nous développons, comme mon malheureux facteur, des allergies respiratoires, c’est qu’au début, il y a eu un malentendu.

Votre corps, à un moment de votre vie (souvent durant l’enfance) a été exposé à trop de pollen, et cela a entraîné la mauvaise réaction. Vous vous êtes mis à développer les mauvais anticorps.

Ceux qui font que chaque fois que votre organisme repère le pollen en question, il déclenche une inflammation virulente, comme s’il était infecté par un virus ou une bactérie.

Quand on voit les énormes concentrations polliniques dans les parcs des villes au printemps, et qui ne cessent de s’accroître d’années en année, il est normal que la réaction du corps soit très vive.

Et réellement, cette réaction, pour être vive, dépend essentiellement d’un facteur que l’on appelle l’histamine.

En fait, l’histamine est une toute petite molécule qui sert de signal à l’intérieur de votre corps, de la même façon que les hormones par exemple.

C’est l’histamine qui crée toutes les réactions qui font le « rhume des foins » et ses effets sur la santé les plus déplorables.

Avant tout, calmer l’histamine

Lorsque votre corps détecte un ou plusieurs pollens auquel il est allergique il mobilise l’histamine comme signal inflammatoire.

Or l’histamine joue aussi sur la migraine, le système digestif et le système cardiovasculaire. Produite par l’intestin, elle peut aussi l’être par le cerveau.

Ce qui fait la virulence de la réaction allergique, ce n’est pas ce petit défaut dans la carcasse que nous traînons depuis l’enfance, mais la surréaction histaminique.

En effet, il est fort courant que notre production d’histamine s’emballe, et cette situation n’est pas étrangère à un microbiote en mauvais état, et à toutes les causes qui peuvent nous y conduire.

Car si notre histamine est produite dans l’intestin, et qu’elle est nécessaire à tout notre corps, y compris à notre système nerveux, la petite molécule censée réguler l’histamine est elle aussi produite par l’intestin.

Elle s’appelle la DAO, pour diamine oxydase.

Ne laissez jamais traîner une inflammation chronique

Or quand vous avez un intestin en mauvaise santé, il a plus tendance à fabriquer de l’histamine en excès que de la DOA en excès.

Il privilégie le signal inflammatoire avant tout, car il vaut mieux selon lui avoir un système immunitaire en alerte qu’endormi.

Quant à la DAO, il se trouve que vous pouvez en manquer pour bien des raisons. La première et la plus évidente est l’hyperperméabilité intestinale, cela va sans dire.

Cependant, la plupart des antidépresseurs et des modulateurs de l’humeur réduisent votre production de DAO, ainsi que… les antihistaminiques, qui ne font que réduire les symptômes sans résoudre le problème.

Heureusement, il y a possibilité de travailler sur cet excès de production histaminique – déjà en ayant un bon microbiote, cela va sans dire – mais pas seulement.

Car la médecine de pointe a prévu des compléments à même de résoudre cette tendance aux allergies qui vous gâche la vie des semaines entières dans l’année.

La Quercétine : ce que les plantes ont de mieux

Il se trouve que deux compléments peuvent complètement renverser votre « tendance » au rhume des foins.

Le premier est ce que l’on appelle la Quercétine. Il s’agit d’un polyphénol très puissant qui donne un coup de fouet incomparable à votre système immunitaire.

Il n’a cessé d’être prescrit durant la crise sanitaire, et par les pharmaciens eux-mêmes. C’est la meilleure aide naturelle que vous puissiez trouver au niveau immunitaire.

De ce simple fait, la quercétine réduit considérablement les réactions inflammatoires, car votre corps ne mobilise pas ces ressources supplémentaires si votre système immunitaire est déjà solide.

Un remède révolutionnaire et méconnu

L’autre remède extrêmement efficace pour tempérer radicalement toutes les réactions allergiques respiratoires, c’est le Moducare C, qui est ce qui se fait de mieux en termes de modulateur immunitaire.

En effet, rien de tel pour apaiser des inflammations qui s’emballent que le Moducare C. Son fonctionnement est assez simple : la mobilisation inflammatoire se fait sur deux types de globules blancs, TH1 et TH2.

Les TH2, lorsqu’ils sont trop nombreux, créent la plupart des problèmes liés aux inflammations et aux allergies : le corps se surprotège, et il se fait du mal de cette façon, jusqu’à se créer des maladies auto-immunes où il s’attaque carrément…

Mais de l’autre côté, une surproduction de TH2 va souvent avec une sous-production de TH1 : le système immunitaire ne fait plus son travail, ce qui favorise les maladies chroniques dont je vous parle souvent ici :

• Cancer
• Maladies dégénératives
• Diabète de type II…

Deux merveilles de la nature

Le Moducare C permet, grâce à l’extrait du pin maritime, de rééquilibrer les proportions entre les deux types de globules blancs, de façon à réduire les surréactions inflammatoires et à accroître votre immunité.

C’est donc ce qu’il y a de mieux en cas d’allergie conséquente, ce qui n’empêche pas que ce soit un complément parfaitement naturel et sans la moindre toxicité. Son efficacité a été éprouvée en laboratoire.

Je travaille avec ces deux compléments depuis des années et ils ont permis à bien des patients de réduire leur rhume des foins à presque rien – et à complètement oblitérer les migraines et les insomnies qui vont avec…

Vous pouvez trouver la Quercétine de la meilleure qualité ICI : c’est celle que je prescris tous les printemps et tous les automnes.

Pour le Moducare C, la seule et unique version se trouve LÀ, c’est une merveille de la nature dont j’attends que vous me donniez des nouvelles.

Le laboratoire a également élaboré un Pack Allergies qui reprends ces produits avec du magnésium afin de potentialiser les actifs du Moducare C et de la Quercetine. Ici

Cela vaut quand même mieux que de craindre les journées ensoleillées et que de se promener avec un masque sur le visage…

Portez-vous bien, et profitez des beaux jours !

Dr. Thierry Schmitz