Chère lectrice, cher lecteur,

On m’a récemment mis entre les mains un livre qui m’a plutôt étonné. Et pour être honnête avec vous, il m’a carrément secoué.

C’est un livre riche sans être long, et qui ne prend pas le lecteur pour un imbécile. Il décrit parfaitement notre situation actuelle et dans quelle direction elle va.

L’ouvrage ne s’enfonce pas dans la répétition, il refuse le business de la lamentation. Il rejette en bloc la nostalgie fataliste.

Ce livre s’appelle le KRAKEN. Un ouvrage rigoureux, rationnel, cinglant.

Et pour tout vous dire, c’est un pavé dans la mare de l’idéologie mondialiste qui n’en finit pas d’attaquer nos libertés.

Passionnant et… croustillant

Le KRAKEN est un livre passionnant. Il entre dans le fond des choses tout en étant fort lisible. Vous y trouverez aussi nombre de passages croustillants.

Vous ne trouverez nulle part ailleurs une critique aussi acerbe du pouvoir tel que nous le subissons en Europe. Le KRAKEN met le doigt où ça fait mal.

C’est un livre de philo comme on n’en écrit plus. Pas de langage bizarre. Les termes spécifiques sont expliqués très clairement.

Plus vous lisez, et plus vous comprenez. Ce livre est fait pour tous, mais tous citoyens n’ont pas le courage de regarder les choses en face !

Et puis on a oublié, aujourd’hui, que la philosophie rend créatif et intelligent, donc prévoyant, malin.

C’est l’intelligence populaire, pas celle des experts scientifiques dont l’expertise se limite presque toujours à un petit domaine.

Voilà la raison pour laquelle il y a un tel engouement pour les universités populaires et les « cafés philo ».

Ce livre a même été assez malin pour me faire reconsidérer ma façon de voir le monde. Parce qu’il vous guérit de l’envoûtement médiatique dans lequel nous baignons – et les réseaux sociaux n’y font pas exception.

Dernier disciple d’une école interdite

L’auteur du KRAKEN, en plus d’être docteur en philosophie, est spécialisé dans une école de philosophie qui est bannie de l’université.

Peut-être avez-vous entendu parler de la Société du spectacle de Debord, de la Société de consommation de Baudrillard, ou encore de l’Obsolescence de l’homme, d’Anders ?

Ces ouvrages sont écartés des universités pour une raison évidente. Notre société réclame des vendeurs et des consommateurs, pas des gens qui réfléchissent.

Or Gary a étudié ces maîtres en profondeur.

Il les connaît par cœur. On peut même dire qu’il est le dernier représentant de leur école. Celle qui attaque le contrôle social sur ses points névralgiques.

Il a fait sa thèse sous la direction de Chantal Delsol, membre de l’académie des sciences morales et politiques. Et pourtant rien n’y a fait. L’université lui a fermé ses portes.

C’est classique. Hormis chez les Allemands, les philosophes ne sont généralement pas enseignés à l’université de leur vivant. 

On ne va pas quand même pas vous apprendre les méthodes de manipulation qui ont cours en ce moment-même !

Gary, lui, l’a fait. Il s’est attelé, durant ces 5 dernières années, à relever tout ce peut vous ouvrir les yeux. Et il vous livre des conclusions que vous ne trouverez nulle part ailleurs.

Le tabou le plus sombre de notre époque

Je ne veux pas vous choquer mais…

Nous vivons dans le régime le plus pervers jamais inventé.

Un totalitarisme acceptable, une tyrannie consentie.

Pour ça, les médias officiels s’appuient sur la médecine, sur la santé, sur la peur qu’ils diffusent partout, tout le temps. 

Durant la crise sanitaire, l’intérêt public a été remplacé par la cause médicale. On a voulu faire de nous des cobayes au nom de l’intérêt général.

Et ça ne s’est pas arrêté depuis.

Notre intérêt général s’est aligné sur celui, très particulier, des laboratoires pharmaceutiques et de leurs actionnaires, comme vous le savez.

Ce que nos dirigeants visent ?

Une société artificialisée, où la malbouffe crée la maladie physique, où les écrans créent la maladie mentale… et où la maladie crée la dépendance aux médicaments.

Cette dépendance entraîne la soumission politique. Vous n’allez pas quand même pas critiquer un gouvernement qui vous « soigne », qui vous « prend en charge » tout de même…

Tous malades, tous soumis : voilà le secret qu’ils veulent vous dissimuler. Voilà le tabou de la société qui vient.

Tandis que les politiques bouffons s’agitent sur la scène, on vous fait les poches, quand on ne vous met pas les menottes… comme c’est déjà le cas en Angleterre ou en Allemagne.

Cela n’a rien de « complotiste ». Vous l’avez vu pendant la crise sanitaire, et vous le voyez tous les jours. Aux infos télévisées et sur les réseaux sociaux.

Vous voulez rester libre ? Ouvrez juste le manuel

Telle est la raison d’être du KRAKEN : un livre qui réveille, mais surtout qui vous garde éveillé sur ses 222 pages. Vous y trouvez :

• Quelle est la vraie puissance qui fabrique l’Histoire (p.26)
  
• Comment les images que nous regardons déterminent qui nous croyons être (p.32)
  
• Quel est le centre géographique du pouvoir actuel (p.48)
  
• Quels sont les 7 PRINCIPES du « gouvernement du faux » sous lequel nous vivons (p.58)
  
• Comment on « fabrique » l’histoire au jour le jour (p.79)
  
• Comment la médecine nous vole la démocratie (p.95)
  
• Le régime carcéral qu’on cherche à nous imposer (p.114)
  
• La théorie qui dissout la société (p.123)
  
• Pourquoi l’État n’est JAMAIS responsable de rien (p.146)
  
• Pourquoi il n’y a pas de vraie opposition sur les canaux autorisés (p.164)
  
• Les techniques des politiques et des médias pour nous « embobiner » (p.176)

Et ce n’est pas tout. Cet ouvrage regorge de pépites plus croustillantes les unes que les autres sur les politiques français, notamment sur les « artisans » de la crise sanitaire…

Bientôt interdit à la vente ?

Autant vous dire, chère lectrice, cher lecteur, que Gary prend aujourd’hui beaucoup de risques.

En effet, il vous dévoile le vrai sens de la politique actuelle, celle qui est menée presque partout en Occident. 

Les éditeurs spécialisés ont été effrayés. Voici un petit florilège de leurs réactions :

« Pourquoi se mouiller autant ? ».

« Un bon livre ne froisse personne »

« Vous avez raison… mais les gens ne sont pas prêts à entendre ça »

« Les gens veulent du rêve, pas la vérité » 

Or si je vous parle aujourd’hui de ce livre, c’est parce que je sais que vous aimez passionnément la vérité.

D’ailleurs, si vous lisez cette lettre, c’est que vous ne vous contentez pas d’une contestation prémâchée, préfabriquée ou complètement délirante.

Celle-là même qu’on vous rabâche depuis 3 ans…

La situation évolue. Nous devons comprendre ce monde qui change si nous voulons rester à flot. C’est le pari que fait Gary Laski.

Il a pour cela mobilisé une petite équipe afin d’éditer son livre, celle des éditions Yavanna. Mais ils ne contrôlent pas toute la distribution, loin de là.

Un collector en devenir

Ce livre creuse tellement profond que je ne lui donne pas un mois avant qu’il ne soit retiré de la vente. C’est le cas, ces derniers temps, pour des ouvrages qui osent émettre des vérités interdites.

Gary le sait. Il a réduit ses droits d’auteur à la portion congrue pour que son livre soit vendu au prix le plus bas possible.

Et c’est un format intermédiaire, pas un livre de poche. 

Tout ce qui intéresse l’auteur, c’est que la vérité se sache enfin, et que vous, en particulier, vous en soyez au fait. 

Si par miracle l’ouvrage n’est pas retiré, l’auteur prévoit une autre version, plus belle, brochée, qui puisse rémunérer tous ceux qui prennent des risques avec lui… le prix en sera au moins doublé.

Si vous voulez vous procurer un exemplaire de cette édition, il vous suffit de cliquer => ICI.

Avec lui, vous pouvez enfin dire : « moi, je sais ! »

Dr. Thierry Schmitz