Le vieillissement sera-t-il bientôt un mauvais souvenir ?

Chère lectrice, cher lecteur, 

Cela peut vous paraître baroque, chère lectrice, cher lecteur, mais l’OMS a déclaré en juin 2018 que le vieillissement était une maladie1

C’est faux, naturellement, et l’OMS est plus réputée pour sa puissance en termes d’information médicale, que pour son honnêteté. 

Mais cela signifie quelque chose d’important sur notre époque. Et même deux choses très importantes. 

Nous ne vivrons pas toujours… mais nous essaierons ! 

La première, c’est que nous considérons désormais tout ce qui diminue lorps comme pathologique et non plus normal. Or quel phénomène est plus normal que le vieillissement ? 

Il est normal que les êtres multicellulaires que nous sommes, de la même façon que nous sommes nés, nous mourrions. 

Cela implique une croissance d’un côté, et de l’autre, une stagnation et une dégénérescence naturelle. 

Mais ce n’est visiblement pas le point de vue de l’OMS, qui estime que, dès lors qu’un individu vivant possède une santé à lui, toute dégradation de cette santé et de l’autonomie qui en résulte est une maladie. 

Ce point de vue nous prodigue donc un second enseignement sur notre époque : elle est persuadée d’être capable de freiner, voire d’enrayer pour de bon les mécanismes mêmes du vieillissement. 

Une bonne santé jusqu’à 100 ans, c’est déjà accomplir un miracle

Démesure sacrilège – hubris – dirons certains. Après tout, nous sommes sur terre parce que nous avons eu la chance d’y naître. 

Si nos ancêtres n’avaient pas dû mourir, ils n’auraient vécu que pour eux-mêmes, et nous ne serions probablement jamais nés. 

C’est parce que l’espèce humaine est mortelle qu’elle se reproduit, transmet son savoir – et qu’elle partage avec ses semblables ses joies, ses tristesses et même ses biens.

Il est donc bien présomptueux de tenir la vieillesse pour une maladie, et de tenir toute notre civilisation humaine pour un vestige du passé. Mais cela veut aussi dire qu’il y a l’espoir de prolonger la vie humaine. 

Car même si je suis persuadé que les êtres humains n’arrêteront pas de s’aimer, de se reproduire, de partager et de transmettre, ils pourraient aussi vivre beaucoup plus longtemps à l’avenir qu’ils ne le font déjà.

Et là, ce ne sont pas les textes religieux qui nous condamneront. Que ce soit chez les Mésopotamiens, dans la Bible ou dans le bouddhisme, les mythes de personnages ayant vécu des siècles sont légion. 

Là-dessus seulement, notre époque contemporaine est un peu plus modeste. 

Si chacun de nous arrivait à vivre un siècle en bonne santé et autonome, de la même façon que l’on arrive aujourd’hui à 70 ans, ce serait déjà une avancée proprement révolutionnaire. 

Et cette aventure, vous pouvez déjà la prendre en marche ! 

La molécule qui bloque tout le vieillissement de vos cellules 

Avec l’espérance de vie actuelle dans les pays développés, les principaux facteurs de maladie chronique et de décès ont été identifiés : maladies cardiovasculaires, dégénératives, et cancer. 

Les systèmes de détection des nutriments nécessaires au prolongement de l’existence ont quant à eux fait l’objet de recherches considérables. 

Il en va ainsi du gène mTor qui régula la synthèse des protéines, mais aussi de l’AMPK, l’enzyme du métabolisme, qui permet de détecter les états de consommation énergétique faible. Et enfin les sirtuines. 

Les sirtuines forment une famille de sept protéines qui décident de votre épigénétique, c’est-à-dire de la façon dont votre corps va jouer lui-même de votre clavier génétique afin de s’adapter à son milieu. 

Il va sans dire que c’est un « mauvais jeu », une mauvaise conjonction d’activations génétiques qui peuvent générer un cancer ou au contraire, induire une longévité sans faille. 

Or les sirtuines fonctionnent avec le NAD+ (le nicotinamine adénine nucléotide), un coenzyme que l’on retrouve dans toutes les cellules vivantes. 

Et pour cause ! le NAD+ est l’un des moments du cycle de Krebs, qui est le cycle chimique de la respiration du vivant : c’est à lui que nous devons toute notre énergie intérieure. 

Manquer de NAD+, ça s’appelle vieillir

Dans la nature, un accroissement de niveau de NAD+ entre les cellules peut améliorer les chances de survie, car cela stimule la production d’énergie et augmente la réparation cellulaire. 

Au point que le vieillissement lui-même a pu être décrit par une « cascade de dégradation de la robustesse cellulaire ». Celle-ci serait déclenchée par une diminution de la production systémique de NAD+. 

Selon cette définition, le vieillissement résulterait alors des défauts fonctionnels enclenchés par l’absence de production de NAD+ dans les organes et les tissus sensibles2

Les mécanismes du vieillissement détaillés (et combattus) 

En effet, selon ces chercheurs, le vieillissement se résume à seulement quelques facteurs que peut réguler une production soutenue (ou une complémentation) en NAD+. A savoir : 

  • Des changements sur le clavier génétique qui peuvent être fatals à plus ou moins long terme
  • Une instabilité du génôme, altéré par les radiations UV ou par une mauvaise reproduction cellulaire
  • Un affaiblissement de la détection et de l’absorption des nutriments
  • Une réduction des télomères, ces bandes qui servent à réécrire votre ADN chaque fois que vos celules se reproduisent
  • Des dysfonctionnements de vos centrales énergétiques cellulaires, les mitochondries
  • Un vieillissement des cellules, qui doivent « tenir le coup » pour être de moins en moins remplacées
  • Un épuisement des cellules souches, qui ont tout le matériel génétique pour remplacer les cellules spécialisées devenues trop usées pour se reproduire correctement
  • Le dérèglement de la communication entre cellules3

Augmenter votre niveau de NAD+, c’est très simple

Lorsque nous arrivons en retraite, nos niveaux de NAD+ sont à peu près divisés par deux4. Or l’augmentation des niveaux de NAD+ 

  • augmente la sensibilité à l’insuline
  • inverse le dysfonctionnement mitochondrial et surtout
  • prolonge la durée de vie5

Votre niveau de NAD+ peut être accru en activant des enzymes qui en stimulent la synthèse, c’est-à-dire la production interne. 

Il s’agit alors d’inhiber une enzyme, le CD38, qui dégrade notre précieuse molécule. Et d’autre part de prendre des briques qui permettent d’en fabriquer, les précurseurs. 

Le plus efficace de ces précurseurs est le NMN, le nicotinamide mononucléotide. 

Pris par voie orale, le NMN est rapidement absorbé et converti en NAD+, comme l’a prouvé une étude publiée en 20186

D’autres études l’ont confirmé et ont aussi montré que la prise de NMN :

  • a également supprimé l’inflammation du tissu adipeux liée à l’âge,
  • amélioré la sécrétion et l’action de l’insuline, 
  • amélioré la fonction mitochondriale (production d’énergie cellulaire)
  • amélioré la fonction neuronale dans le cerveau, 

On trouve de la NMN dans notre alimentation même, mais seulement en toutes petites quantité dans les avocats, le brocoli, le chou, l’édamamé et les concombres. 

Ils ont fait rajeunir des souris – l’humain est le prochain sur la liste

Les résultats que peuvent avoir des compléments alimentaires sur les individus peuvent varier énormément. En cause, notamment, le mode de vie et la génétique, qui varient d’un individu à l’autre. 

Il en va différemment sur les essais avec les souris, car elles peuvent être sélectionnées selon des lignées qui ont des affections très précises : alors les résultats peuvent être vus directement. 

Et sur les souris, ils sont édifiants. Car les prises de NMN

  • suppriment la prise de poids liée à l’âge, 
  • améliorent le métabolisme énergétique et l’activité physique
  • améliorent la sensibilité à l’insuline, 
  • améliorent la fonction oculaire, 
  • améliorent le métabolisme mitochondrial 
  • préviennent les changements liés à l’âge dans l’expression des gènes.
  • Améliorent l’action et la sécrétion d’insuline 
  • Protègent le cœur de la souris contre l’ischémie et les lésions de reperfusion
  • Restaurent le muscle squelettique chez les souris âgées
  • Ralentit le déclin cognitif chez les souris atteintes de la maladie d’Alzheimer 

Et en plus, les souris âgées sont plus sensibles au NMN, par comparaison avec les jeunes souris, ce qui montre tout le potentiel d’un tel traitement. 

Et si vous vous sentiez exactement comme il y a 10 ans ? 

Contrairement à la plupart des nutriments les meilleurs pour votre organisme et les plus rares, le NMN s’absorbe extrêmement bien. 

Il est stable dans l’eau, se conserve quasiment intact (93 à 99%) dans l’eau potable à température ambiante, de 7 à 10 jours. 

Chez les souris, il a montré une absorption très rapide de l’intestin, entre deux minutes et demie et 10 minutes. Même des doses élevées ont été bien tolérées chez les souris normales. 

Jusqu’ici, rares sont les laboratoires qui se sont spécialisés là-dedans. Il se trouve que je vous en ai trouvé un : Lifespan +.

Lui seul, jusqu’ici, est capable de vous offrir la qualité la plus élevée qui soit, celle que nous prescrivons dans notre clinique de la Hulpe. Il est pur à 99%. 

Ce NMN ne signifie pas seulement augmenter votre espérance de vie mais aussi :

  • Etre beaucoup plus en forme – un meilleur fonctionnement de vos cellules implique aussi celui de vos mitochondries, leurs centrales énergétiques. Cette énergie vous la ressentez sous la forme d’un accroissement de votre tonus quotidien. 
  • Des risques de diabète amoindri : les cellules de votre système digestif, en fonctionnant mieux, permettent une meilleure régulation du glucose et une réduction de votre taux de sucre dans le sang. 
  • Une fonte de vos éventuels bourrelets : dès lors que vos cellules fonctionnent mieux, cela implique un meilleur métabolisme et donc une consommation de la graisse superflue que votre organisme peut emmagasiner malgré lui. 
  • Plus de force et d’endurance : moins dégradées par l’oxydation et plus actives, les cellules de vos muscles fonctionnent mieux et fondent moins 
  • Retrouvez votre ligne d’antan : en fonctionnant mieux, votre métabolisme emmagasine moins l’énergie sous forme de graisse et utilise mieux les calories que lui prodiguent l’alimentation. Poussé naturellement à faire de l’exercice, vous aurez moins à surveiller votre poids. 

Pour avoir accès à tous ces bienfaits, c’est simple, il vous suffit de cliquer ICI

Les résultats ne se feront pas attendre : vous ne sentirez tout simplement plus votre âge. 

Prenez soin de vous,

Dr. Thierry Schmitz

Sources

 [1] Zhavoronkov A, et al. Classification du vieillissement comme une maladie dans le contexte de la CIM-11 . Front Genet. 2015. 4 novembre ; 6 : 326.

[2] Imai S. The NAD World 2.0: the importance of the inter-tissue communication mediated by NAMPT/NAD+/SIRT1 in mammalian aging and longevity control. NPJ Syst Biol Appl. 2016. August 18;2:16018.

[3] De Magalhães JP, et al. Meta-analysis of age-related gene expression profiles identifies common signatures of aging. Bioinformatics 2009: 25: 875–881.

[4]  hu XH, et al. In vivo NAD assay revels the intracellular NAD contents and redox state in healthy human brain and their age dependences. Proc. Natl. Acad. Sci. 2015;

[5]  Lee CF, et al. Targeting NAD+ Metabolism as Interventions for Mitochondrial Disease. Sci Rep. 2019. February

[6]  Poljsak B. NAMPT-Mediated NAD Biosynthesis as the Internal Timing Mechanism: In NAD+ World, Time Is Running in Its Own Way. Rejuvenation Resarch, 2018 Jun

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