Cet antidiabète naturel et scientifiquement prouvé dont on ne veut pas vous parler.
Chère lectrice, cher lecteur,
Le diabète, c’est une épidémie. Elle dure depuis un quart de siècle (au moins).
Les facteurs sont nombreux pour expliquer ce phénomène, et qui vont bien au-delà de l’allongement de l’espérance de vie de la seconde moitié du XXe siècle. Relevons-en au moins trois :
- L’essor de la nourriture transformée, qu’il s’agisse soit de sucreries, soit d’aliments contenant des sucres de façon subreptice – comme les plats préparés par exemple.
- La baisse de l’éducation culinaire et la facilité de recourir à cette nourriture transformée, facilement préparable, facilement achetable aussi.
- Cette même nourriture transformée a été administrée aux tout petits enfants (les petits pots pour bébé par exemple), et elle représente un réconfort pour qui y est accro depuis le plus jeune âge.
C’est ce qui fait que le diabète ne cesse de croître aujourd’hui… sans qu’on soit capable de pointer du doigt le coupable, à savoir l’industrie sucrière.
Je suis d’ailleurs toujours étonné, quand je me rends à Paris par exemple, qu’il y ait tant de restaurants à la mode qui proposent de la nourriture enfantine et extrêmement sucrée – qu’ils appellent « ultra-régressive ».
Mais qu’on ne s’y trompe pas : ce sont rarement ces clients aisés (qui pèsent leur nourriture le reste du temps) qui subissent le diabète. Ce sont plutôt les consommateurs qui vont faire leurs courses au supermarché discount.
Or ces supermarchés, les seuls qui ne donnent pas l’impression aux clients d’être volés comme dans un bois lorsqu’ils passent à la caisse, sont généralement remplis de produits peu chers et très transformés.
Parmi eux, on trouve le pire : des sucreries très nocives qui attirent tout de suite l’œil des enfants…
Ainsi, le diabète frappe désormais des adolescents que l’on a laissés se nourrir uniquement de « céréales » (en fait du sucre quasi-pur), de chips et de hamburgers de piètre qualité.
Comme la malbouffe, le diabète touche donc la société tout entière, tous les âges et toutes les conditions sociales, sans épargner la jeunesse, bien au contraire.
Ce fléau est d’autant plus injuste qu’il paraît être irréversible. Or il se trouve que l’on peut vivre aujourd’hui avec le diabète en le traitant naturellement.
Voici comment :
On peut traiter le diabète naturellement, c’est prouvé
Pour la médecine conventionnelle, le diabète est une fatalité : une fois que vous l’avez, vous ne pouvez que faire en sorte de freiner autant que possible le déclin de votre santé.
En médecine alternative, certaines approches prétendent avoir réussi à éliminer le diabète de type II chez certains patients. Soit par la médecine chinoise, soit par le jeûne.
Pour ma part, je ne suis pas là pour faire la promotion de telles solutions, même si les témoignages allant dans ce sens sont assez nombreux pour être pris au sérieux.
Savoir qu’il a été possible d’y arriver est réjouissant et encourageant. Cela montre aussi que le diabète n’est pas un mal aveugle, et qu’il résulte d’un mode de vie excessif.
Car il ne sert à rien de suivre un protocole pour réduire le diabète si c’est pour continuer à se nourrir de friandises ! C’est pourtant monnaie courante, surtout aux Etats-Unis où les barres chocolatées sont reines.
D’autant que la plupart des patients diabétiques y arrivent à un âge où renverser la maladie devient presque impossible. Et il en est d’autres qui ont une prédisposition génétique qui rend cette maladie incurable.
D’où mon insistance sur 2 remèdes parfaitement naturels : la berbérine et le chrome. La première est une petite molécule issue des plantes, l’autre est un minéral très pratique, dont manquent beaucoup les diabétiques.
Ceci permet de réduire autant que possible l’incidence du diabète sur la vie courante, que votre corps puisse en être guéri ou pas.
Un fonctionnement prouvé scientifiquement à 100%
La berbérine est une toute petite molécule que l’on a découverte dans une plante qui s’appelle le berbéris – d’où son nom.
Elle est un supplément parfait pour réguler le métabolisme des sucres, et elle contribue au maintien d’un poids de forme.
Elle donne un coup de fouet à votre cœur et améliore votre santé veineuse car elle active l’AMPK, une enzyme nécessaire au cycle naturel de la respiration, que l’on retrouve chez tous les animaux et tous les végétaux.
Ses effets sur la flore intestinale et la digestion sont également remarquables. Elle est donc fortement recommandée aux personnes en surpoids ou obèses.
Il s’agit d’un complément idéal si vous avez besoin d’un coup de fouet, si vous êtes diabétique, si vous voulez perdre du poids ou si vous avez une mauvaise digestion ou des intestins endommagés (par les antibiotiques par exemple).
Les résultats parlent pour eux-mêmes (c’est pourquoi on les tait)
En activant l’AMPK, la berbérine augmente l’expression du gène GluT4, un transporteur de glucose musculaire et graisseux.
De cette façon, elle facilite le transport de glucose intracellulaire et permet de réduire la glycémie en améliorant la sensibilité à l’insuline.
D’où l’intérêt que représente la berbérine pour les diabétiques, avec des résultats équivalents, voire parfois supérieurs à ceux de la metformine.
En 2023, une étude a montré que, sur 116 patients atteints de diabète de type II, 1 gramme par jour de berbérine réduisait les paramètres glucidiques.
Ainsi, l’hémoglobine glyquée, qui est le marqueur de la glycémie, est passée d’une moyenne de 7,5% à 6,6%. La glycémie à jeûn est tombée de 126 à 100,8 milligrammes par décilitre1.
Ce sont donc des résultats scientifiques remarquables, à même de sauver des vies.
Rappelons qu’en cas de diabète, peu de médicaments sont utiles, et que jusqu’ici, il n’y avait que la metformine qui obtenait des résultats probants.
Or il a été prouvé, dès 2008, que la berbérine, pour sa capacité à faire baisser le taux de sucre dans le sang (glucose), était aussi efficace que metformine2, en plus d’être parfaitement naturelle.
La berbérine s’attaque au cœur même de la maladie
La mauvaise alimentation d’aujourd’hui a fait émerger une maladie qui s’appelle le syndrome métabolique, où diabète, obésité et maladies inflammatoires (du cancer à « Alzheimer ») se favorisent mutuellement.
A ce titre, rappelons que la graisse viscérale, celle qui fait un gros ventre, est considérée par le corps comme une inflammation permanente, qui favorise justement les maladies chroniques.
Contre le syndrome métabolique, dont les risques s’accroissent avec l’embonpoint, la metformine avait démontré ses effets : anti-cancer, hypoglycémiante.
Or il se trouve que la berbérine a des effets tout à fait similaires, ce qui a été prouvé scientifiquement3. En plus d’être, pour sa part, complètement naturelle, si elle est récoltée sur des plantes bio.
C’est précisément le cas de la berbérine que je prescris dans mon cabinet, et que vous pouvez trouver en cliquant ICI.
Cet oligo-élément est l’adversaire résolu du diabète
Il y a certains éléments de la nature qui peuvent être du meilleur effet en cas de maladie chronique.
Il en va ainsi du chrome pour le diabète. Car le chrome ne sert pas qu’à faire briller les carrosseries des voitures.
C’est un oligo-élément, l’un de ces métaux dont le corps n’a besoin qu’en toute petite quantité, et dont le corps peut compenser le manque jusqu’à un certain point.
Or la carence en chrome favorise l’hyperglycémie et le risque de diabète.
Au contraire, un apport en chrome suffisant – et même conséquent – peut vous faire retrouver un traitement normal des sucres, et éviter les malheurs du diabète.
De plus, si vous êtes diabétique, vous avez tout à gagner à retrouver votre équilibre minéral en termes de chrome.
Là aussi, je prescris régulièrement une forme de chrome en particulier. Je sais qu’il n’y a que celui-là qui contient assez du précieux minéral.
Il est 100% bio et naturel et ne contient aucun sucre ajouté. Ce pourquoi il est la forme qui s’absorbe le mieux sur le marché.
Pour tout savoir sur ce chrome et vous le procurer, il vous suffit de cliquer ICI.
Portez-vous bien,
Dr. Thierry Schmitz
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