Découverte scientifique : cette molécule naturelle désactive la douleur
Chère lectrice, cher lecteur,
Arthrose, lombalgie, migraine, fibromyalgie… les messages que vous m’envoyez chaque jour témoignent de votre calvaire :
“Des coups de poignard dans le ventre”
“Une horrible sensation de brûlure”
“Comme des décharges électriques ”
“La tête dans un étau”
La douleur est insoutenable, et pourtant, vous vous dites que vous n’avez pas d’autre choix que de vivre avec.
Mais, contrairement à ce que vous pouvez croire, RIEN ne vous oblige à vivre avec cette souffrance en permanence.
Si vous douleurs ne vous quittent pas, sachez qu’il existe aujourd’hui une solution parfaitement naturelle. Pour la découvrir, je vous invite à lire cette lettre jusqu’au bout.
Car la médecine a fait une découverte qui fait de la douleur un vestige du passé. C’est une molécule naturelle qui agit comme un interrupteur sur la douleur.
Il suffirait de le mettre sur OFF pour ne plus avoir mal.
En un instant, vous êtes soulagé.
Le plus triste, c’est que les personnes qui en ont le plus besoin ne sont même pas au courant…
Car les anti-douleurs, ça me marche qu’un temps. Même quand vous augmentez les doses, la douleur ne s’en va pas.
Pire encore, elle s’amplifie avec les années.
7 personnes sur 10 sont à court de solution
La douleur est le motif de consultation N°1 chez le médecin et le pharmacien [1] .
Les médecins appellent ça « des douleurs chroniques » :
Une douleur constante ou récurrente
qui dure depuis au moins trois mois et
que les traitements médicamenteux n’arrivent pas à enrayer.
C’est devenu un sujet de santé publique : les soignants sont dépassés face à la douleur chronique.
Et les malades vivent UN ENFER.
Douleur chronique : votre poison quotidien
La douleur chronique est comme un mal invisible qui vous torture en continu :
Vous vous réveillez avec la sensation d’avoir été roué de coups pendant la nuit.
● Vos articulations vous font tellement souffrir que vous n’osez plus bouger.
● Même les repas déclenchent des crampes abdominales insupportables.
Et que dire quand vous êtes assailli(e) de maux de tête épouvantables ? Quand votre dos est raide comme du carton ?
Le problème avec la douleur, c’est qu’elle ne vous laisse pas de répit.
Elle est là tout le temps : dès le réveil, toute la journée, quand vous vous mettez au lit, même quand vous dormez.
Quand la douleur rythme votre vie, vous finissez par ne plus avoir goût à rien.
La moindre petite marche vous décourage.
Comment rester optimiste, avoir foi en l’avenir, faire des projets quand la douleur devient une obsession ?
Pour briser ce cercle infernal, la médecine ne propose rien d’autre que les traitements anti-douleurs.
Mais ces médicaments peuvent être TRÈS DANGEREUX :
Le paracétamol ronge votre foie
Disponible sans ordonnance, le paracétamol est le médicament le plus consommé en France .
Il est utile pour soulager momentanément une douleur légère. Mais le prix à payer est vite élevé.
Cas ses effets sont désastreux sur le foie .
Quand vous consommez trop de paracétamol, votre foie ne parvient plus à l’éliminer.
Il devient toxique et attaque vos cellules hépatiques.
On peut même mourir d’un surdosage en paracétamol. C’est d’autant plus vrai si vous avez le foie fragile. Regardez bien les messages qui figurent sur les boîtes de paracétamol:
Pour éviter tout accident, l’Agence Nationale de sécurité du médicament et des produits (ANSM) recommande de :
“Prendre la dose la plus faible, le moins longtemps possible. Maximum 3 jours en cas de fièvre, 5 jours en cas de douleur.” [2]
Et comment fait-on après cinq jours ?
Comment s’en passer quand on souffre tout le temps ?
Et les anti-inflammatoires ne font pas mieux :
Les anti-inflammatoires augmentent le risque d’infarctus
Comme le paracétamol, les anti-inflammatoires non stéroïdiens sont toxiques pour le foie. Mais pas seulement :
● Ils augmentent de 63% le risque de mortalité chez les personnes qui en consomment régulièrement.
● Ils multiplient par deux le risque d’ infarctus du myocarde [3].
● Ils peuvent provoquer des lésions intestinales [4] allant jusqu’à des hémorragies digestives.
C’est même plus fréquent qu’on ne le croit.
Pourtant il y a encore plus dangereux que les anti-inflammatoires et le paracétamol.
Quand la douleur est trop forte, on vous fait passer aux antalgiques de “catégorie supérieure”. Et là, vous risquez encore plus gros.
Les antidouleurs peuvent vous rendre accro
En cas de douleurs modérées ou sévères, on vous prescrira de la codéine ou du tramadol. Le tramadol est même l’antidouleur le plus prescrit en France.
Ces médicaments appartiennent à la famille des opioïdes, c’est-à-dire des dérivés de l’opium.
Vous imaginez bien quel risque vous courez si vous en prenez régulièrement.
A force d’en consommer, vous ne pouvez plus vous en passer !
Et même pire : vous avez besoin d’ augmenter les doses pour espérer ressentir les mêmes effets.
Sans vous en rendre compte, vous devenez accro . Et les risques de surdosage deviennent alors inévitables.
La revue médicale française Prescrire en arrive à la conclusion que le tramadol “expose à des risques qui exigent la même vigilance qu’avec la morphine.” [5]
Car les opioïdes agissent sur la partie du cerveau qui contrôle votre respiration [6].
En cas de surdosage, votre respiration ralentit, jusqu’à perdre connaissance et même en mourir.
C’est exactement ce qu’il s’est passé aux Etats-Unis.
Aux Etats-Unis, 500 000 morts à cause d’un antidouleur surdosé
Là-bas, on parle d’ épidémie des opioïdes à cause des victimes de surdosage involontaire.
L’un d’eux, l’OxyContin est à l’origine d’un scandale national : entre 1990 et 2010, cet opioïde a tué plus de 500 000 Américains par overdose. Sur cette période, c’est même la première cause de mortalité chez les 18-30 ans…
Triste record.
Des pierres tombales symboliques, posées devant le Capitole à Washington pour dénoncer le scandale des opioïdes.
Toutes ces vies perdues auraient pourtant pu être sauvées.
Car chacun de nous a en lui la capacité de soulager lui-même la douleur. Même en cas de fibromyalgie.
VOTRE CORPS EST UNE FORMIDABLE MACHINE.
Il est capable de produire une molécule spécialement conçue pour éteindre la douleur.
Votre corps produit naturellement un puissant antidouleur
Vous le savez, la nature est bien faite.
Et, contre la douleur, elle a prévu un remède imparable : le palmitoyléthanolamide.
Pour simplifier, on l’appelle plus souvent le PEA.
Quand vous souffrez de stress, d’infections virales ou bactériennes, d’inflammation, de douleurs et même d’allergies, votre corps déclenche la production de cet antidouleur naturel.
Il en fabrique à partir des phospholipides présents dans les membranes de vos cellules.
On trouve du PEA dans tous nos organes, surtout le cerveau, le foie et les muscles (et aussi les intestins, la peau).
Mais devinez où l’on trouve les plus grandes concentrations de PEA ?
Dans les tissus lésés, abîmés ou présentant une forme de dégénérescence.
Car le PEA possède un formidable pouvoir de réparation des tissus.
Et voici pourquoi il joue un rôle essentiel dans la diminution de la douleur.
Comment votre organisme régule votre équilibre interne… et la douleur
Je ne peux pas vous expliquer le fonctionnement du PEA sans vous parler d’une autre merveille de la nature : le système endocannabinoïde [7] .
Ce nom complexe cache en réalité un puissant système de communication dans votre organisme. Il permet de réguler :
● la douleur
● l’inflammation
● l’appétit
● l’humeur
● la température corporelle
● l’immunité
● la réponse au stress… etc
Jusqu’aux années 1990, le système endocannabinoïde était totalement inconnu du monde médical.
Les chercheurs ont découvert comment il fonctionnait en s’intéressant au mécanisme d’action… du cannabis !
Ils ont remarqué que des composés chimiques de la plante, appelés cannabinoïdes, se fixaient à de minuscules récepteurs cachés à la surface de nos cellules.
Ces récepteurs, dits “CB1” et “CB2”, sont présents presque partout dans notre corps :
Un récepteur est comparable à une serrure et le cannabinoïde à une clé.
Quand le cannabinoïde se lie au récepteur, il “ouvre” la porte de la cellule pour modifier son fonctionnement et la ramener à l’équilibre.
Mais pas besoin de prendre du cannabis pour activer ce mécanisme.
Car vous avez votre propre usine interne à cannabinoïdes.
Ce messager cellulaire diminue la sensation de douleur
En cas de stress, d’anxiété ou de douleur, votre corps est capable de produire son propre trousseau de clés : les endocannabinoïdes.
Comme les cannabinoïdes issus du cannabis, les endocannabinoïdes se lient aux récepteurs CB1 et CB2.
Une fois fixés aux récepteurs, ils envoient un signal spécifique, adapté à la situation.
Ainsi, en cas de douleur, ils ordonnent aux cellules de limiter la transmission du signal douloureux jusqu’au cerveau.
Mais alors quel rôle joue le PEA dans ce système antidouleur ?
Le PEA est un “endocannabinoïde-like” : il ne se fixe pas aux récepteurs CB1 et CB2 mais il stimule leur activité. De cette manière, il renforce l’action des endocannabinoïdes dans la modulation de la douleur.
Le PEA met de l’huile dans la serrure pour que la clé l’ouvre plus facilement.
En renforçant l’efficacité des endocannabinoïdes, le PEA empêche la douleur de se développer.
En plus, le PEA est un agent protecteur des cannabinoïdes , qu’ils soient produits par l’organisme ou apportés en supplémentation comme le CBD.
Le PEA prolonge l’effet antidouleur naturel
Vous l’avez vu plus haut, notre corps produit naturellement des endocannabinoïdes, capables d’atténuer la douleur.
Mais, pour s’autoréguler, il les détruit aussi vite qu’il les a fabriqués [8] .
La douleur revient alors subitement.
C’est là que le PEA joue un rôle essentiel : il ralentit la destruction des cannabinoïdes et prolonge ainsi leur effet antidouleur.
Autrement dit, au moment où la douleur risque de réapparaître, le PEA agit comme une pédale de frein pour l’empêcher de revenir.
Et ce n’est pas tout.
Les chercheurs ont découvert que le PEA agit aussi sur l’inflammation.
C’est en s’intéressant au contenu d’un simple jaune d’œuf qu’ils ont faite cette découverte étonnante.
Un anti-inflammatoire caché dans le jaune d’œuf ?
A la fin des années 1930, des chercheurs remarquent que le jaune d’œuf permet de réduire certaines inflammations articulaires.
Pour comprendre ce phénomène, ils étudient sa composition chimique.
En 1957, ils parviennent à isoler une molécule, fortement concentrée dans le jaune d’œuf, qu’ils baptisent palmitoyléthanolamide.
Mais impossible pour eux de comprendre comment le PEA agit aussi efficacement sur l’inflammation.
Il faut attendre 1993 pour que le mystère du PEA soit enfin percé.
Cette Prix Nobel de Médecine a découvert comment le PEA agit sur l’inflammation
Depuis ses débuts dans la recherche, la scientifique italienne Rita Levi-Montalcini se passionne pour le mécanisme de l’inflammation.
En 1986, elle obtient le Prix Nobel de Médecine pour sa découverte du NGF – le facteur de croissance nerveuse.
En effet, elle remarque que certaines cellules immunitaires, les mastocytes, sont activées par le NGF: c’est cette stimulation qui augmente le phénomène inflammatoire.
Pour prendre une image plus simple, le NGF agit comme un briquet sur des allumettes – les mastocytes. Quand toute la boîte d’allumettes s’enflamme, plus rien ne peut éteindre le feu.
Chaleur, rougeur, gonflement, douleur apparaissent alors : ces quatre signes sont les marqueurs types de l’inflammation.
C’est là que les recherches menées par Rita Levi-Montalcini deviennent passionnantes .
En 1993, elle montre que le PEA peut freiner l’action du NGF sur les mastocytes. Il agit comme un extincteur sur le briquet allumé et empêche la boîte d’allumettes de prendre feu.
En temps normal, ce système “anti-incendie” fonctionne naturellement.
Mais il y a un problème avec le PEA :
Pourquoi votre organisme ne parvient plus à stopper la douleur et l’inflammation
Dans certaines circonstances, votre corps ne parvient plus à produire assez de PEA.
C’est votre cas si vous souffrez de certaines pathologies comme la fibromyalgie [10] ou l’inflammation chronique.
Mais la production de PEA ralentit aussi fortement avec l’âge . C’est ce qui peut expliquer pourquoi, en vieillissant, on souffre davantage des articulations et de douleurs inflammatoires.
En effet, si votre corps ne produit plus assez de PEA, vous ressentez plus vivement la douleur et l’inflammation.
Peut-on lutter contre la douleur et l’inflammation quand on ne produit plus assez de PEA?
Tout à fait !
Et la réponse tient même en un mot : supplémentation.
C’est ce qu’a démontré une vaste étude hollandaise.
Avec une dose quotidienne de PEA, la douleur sciatique diminue de 50%
A l’Institut pour la douleur neuropathique, aux Pays-Bas, les professeurs Keppel, Hesselink et Kopsky ont mené une étude auprès de 636 personnes, souffrant de douleurs sciatiques [11] .
Ces personnes, âgées de 19 à 72 ans, ont été réparties en trois groupes :
● Le groupe 1 a reçu un placebo.
● Le groupe 2 a reçu une dose quotidienne de 300 mg de PEA.
● Le groupe 3 a reçu une dose quotidienne de 600 mg de PEA.
Et les résultats ne se sont pas fait attendre.
Les chercheurs ont constaté jusqu’à 50% de diminution de la douleur perçue chez les personnes supplémentées.
Et, sans surprise, cette réduction de la douleur s’est traduite par une nette amélioration de leur qualité de vie.
L’étude a montré que, plus la dose quotidienne en PEA est élevée, plus les améliorations sont significatives.
Les effets d’une supplémentation en PEA sont visibles sur les douleurs sciatiques mais pas seulement.
Appuyez sur l’interrupteur qui éteint la douleur
Depuis plusieurs années, la recherche autour des bienfaits de la PEA s’accélère.
De nombreuses études ont déjà permis de documenter son action sur de nombreuses douleurs comme :
● Douleurs pelviennes
● Symptômes du canal carpien
● Endométriose et douleurs menstruelles [12] [13]
● Migraines avec aura
● Fibromyalgie et douleurs musculaires [14]
● Lombalgie
● Douleurs neuropathiques
● Douleurs rhumatismales
● Douleurs Postopératoires
● Douleurs cancéreuses
● Douleurs dentaires…
C’est bien simple. Dans toutes ces situations, le PEA agit comme un interrupteur qui met sur OFF la douleur et l’inflammation.
Ainsi, il agit simultanément sur 4 mécanismes naturels impliqués dans la régulation de la douleur :
Et il y a encore quelque chose que je ne vous ai pas dit à propos du PEA :
Vous allez retrouver un sommeil de bébé
Ce n’est un secret pour personne : la douleur empêche de bien dormir.
Et c’est vrai dès l’endormissement : il est difficile de trouver une position dans laquelle vous n’avez pas mal.
Quand le sommeil vient enfin, vous êtes réveillé au milieu de la nuit par une douleur lancinante.
Vous vous levez le matin fourbu et épuisé par cette nuit hachée.
Vous avez la tête dans le brouillard.
Vous ne vous sentez pas en état d’affronter une nouvelle journée.
Or, des chercheurs viennent de prouver que le PEA peut améliorer la qualité de vos journées mais aussi de vos nuits.
Lors d’une étude en double aveugle [15] , des scientifiques australiens ont évalué les effets d’une supplémentation en PEA sur la qualité et la durée du sommeil. Pour cela, ils ont suivi, pendant huit semaines, 103 adultes dont la moitié recevait 350 mg d’une forme biodisponible de PEA et l’autre moitié un simple placebo.
Les chercheurs ont constaté de nettes différences avec la supplémentation en PEA :
● Un temps d’endormissement 10 fois plus court.
● Un temps réduit pour se sentir complètement réveillé le matin.
●Un meilleur fonctionnement cognitif au réveil.
Pour agir efficacement sur la douleur et l’inflammation et pour retrouver un sommeil récupérateur, un apport quotidien en PEA est indispensable.
Et vous allez pouvoir en profiter dès aujourd’hui.
Mais attention.
Si vous souhaitez vous supplémenter, ne faites pas l’erreur de choisir une formule de PEA classique.
Car l’efficacité du PEA tient à un détail que peu de personnes connaissent.
Cette nouvelle technique garantit l’efficacité du PEA
Pour comprendre l’importance de ce petit détail, pensez à cette expérience que vous avez sûrement déjà faite : quand vous versez une goutte d’huile dans un verre d’eau, les deux liquides ne se mélangent pas.
Même si vous agitez le tout avec une cuillère, l’huile ne se dissout pas dans l’eau.
Eh bien, c’est exactement ce qui pourrait se passer dans votre intestin avec le PEA standard.
En effet, le PEA est un lipide.
Quand vous ingérez une formule de PEA standard, celui-ci forme des “paquets gras” dans votre système digestif : il est très mal assimilé.
En revanche, les scientifiques ont développé un procédé qui résout définitivement ce problème : la micronisation.
C’est une nouvelle technique de broyage en particules très fines.
Elle augmente la dissolution du PEA au contact de l’eau et facilite son passage à travers les différentes barrières physiologiques.
Le PEA micronisé est la forme la plus biodisponible pour votre organisme, ce qui se traduit par des résultats efficaces et rapides.
Retrouvez une vie apaisée et sans douleurs
Je vous l’ai dit au début de cette lettre : je reçois chaque jour des courriers de lectrices et de lecteurs qui me demandent des conseils pour soulager leurs douleurs.
Pour tous ceux qui ont essayé le PEA micronisé , les résultats ont été spectaculaires :
J’ai une fibromyalgie et après 1 mois d’essai je vois des améliorations considérables sur les douleurs. Très bon produit.
Sylvie T.
Au bout de 15 jours jours la diminution des douleurs s’est fait ressentir. Je suis ravie.
Marie M.
Produit efficace pour les douleurs lombaires. Et grâce au PEA, j’ai pu reprendre la marche.
Jean R.
Excellent. Cela aide beaucoup dans le problème des douleurs articulaires.
Ariane S.
Efficace contre les douleurs chroniques. Soulage beaucoup et permet de retrouver une vie plus normale.
Brigitte T.
Avant je prenais du paracétamol pour soulager la douleur mais mon foie ne le supportait pas. Depuis que je prends du PEA, je n’ai plus de douleurs et je ne ressens plus aucun effet secondaire.
Daniel M.
Vous le voyez, quel que soit le type de douleur dont vous souffrez, vous pourrez bientôt vous sentir soulagé avec le PEA.
En plus, contrairement à certains antidouleurs, le PEA n’entraîne aucune dépendance.
Aucun effet secondaire, aucune accoutumance
Vous le savez désormais : les traitements antidouleurs et anti-inflammatoires classiques provoquent des effets secondaires parfois irréversibles. Dans le cas des opioïdes, ils peuvent même vous rendre accro.
A l’inverse, le PEA n’entraîne aucune dépendance et n’a aucun effet secondaire.
Cette molécule produite naturellement par le corps est parfaitement adaptée à notre organisme. Nous possédons même notre propre mécanisme de régulation interne du taux de PEA. .
Le PEA éventuellement présent en excès est dégradé, transformé et recyclé.
Il n’y a donc aucun risque de surdosage.
Pour apaiser la douleur, la dose de PEA Micronisé que je recommande correspond à 3 ml par jour.
Maintenant, vous avez toutes les informations pour réagir efficacement et sans danger face à vos douleurs.
Si vous souhaitez découvrir le type de PEA que je conseille et comment l’obtenir facilement, rendez-vous ICI.
Bien à vous,
Dr Schmitz
Si vous avez une question sur cet article, vous pouvez la poser ci-dessous.
En raison du nombre important d’inscrits, le Dr Schmitz ne pourra pas vous répondre personnellement. En revanche, il prendra connaissance de votre question et répondra aux questions les plus fréquemment posées et mettant les réponses au dessous l'article.