Examens : le secret d’une concentration totale

Chère lectrice, cher lecteur,

Chaque fois que quelqu’un, autour de moi, passe un examen, je lui donne mon petit secret infaillible. 

Il fait la différence entre une bonne et une mauvaise révision, entre une bonne et une mauvaise performance le jour de l’examen !

Vous pouvez bien sûr le retrouver à la fin de cette lettre. Mais avant cela, laissez-moi vous parler de Nadia. 

Cette année, Nadia, ma nièce, passe son baccalauréat, et elle a bien du mal à réviser. 

A son grand dam, la nouvelle n’a pas manqué de se répandre comme une traînée de poudre dans toute la famille…

Et patatras… dimanche dernier, au déjeuner, tout le monde lui est « tombé dessus » :

  • « C’était beaucoup plus dur à mon époque, si tu savais… »
  • « Ce n’est pas si difficile… il suffit de se concentrer un peu ! »
  • « Demande à ton cousin, il est bon, lui, en maths. Il va t’expliquer ! »
  • Etc…

Et notre pauvre Nadia de se retrouver humiliée publiquement et de fondre en larmes, avant de quitter la table commune telle une fusée. 

Déjà, c’est un peu facile de donner des conseils à une jeune femme si on ne peut pas l’aider réellement. 

Parce que je n’ai pas vu d’adulte, autour de cette table, capable de refaire les exercices de géométrie de ses 13 ans !

Même si le niveau scolaire ne cesse de chuter, les examens scolaires et universitaires demandent beaucoup de concentration. 

Bien sûr, avec l’âge, les problèmes du quotidien nous accaparent. Notre capacité à penser des questions abstraites s’amenuise. C’est un fait. 

Mais il y a un fléau pour la concentration auquel nous sommes tous confrontés, travailleurs ou retraités. Il pose un réel problème pour les élèves et les étudiants. 

Je veux bien sûr parler des téléphones portables et surtout des réseaux sociaux auxquels ils donnent accès. 

Une formidable source d’informations

Les réseaux sociaux sont une invention extraordinaire : 

  • Vous pouvez vous informer sur n’importe quel sujet
  • Vous pouvez apprendre des plus grands experts dans n’importe quel domaine
  • Vous pouvez passer des heures entières à rire de blagues et de plaisanteries pour vous remonter le moral
  • Vous pouvez rester en contact avec votre famille et vos amis à tout instant, même à l’autre bout du monde
  • Vous pouvez vous mobiliser pour n’importe quelle cause importante en quelques clics

Présenté de cette façon, on a l’impression d’avoir à faire à la plus merveilleuse invention jamais conçue. 

Et à vrai dire, malgré notre méfiance initiale, nous sommes presque tous dessus, même si certains réseaux sont moins prenants que d’autres. 

Or toute médaille a son revers… 

Comme Nadia, nous sursautons à chaque « ping »

Les réseaux sociaux, et par extension, le téléphone « intelligent » qui permet d’y avoir accès en permanence, représentent une difficulté considérable pour l’éducation des enfants. 

Aujourd’hui, aucun adolescent de quinze ans et plus n’existe socialement s’il ne possède pas cette machine. 

Nadia n’échappe pas à la règle. Il ne se passe pas 5 minutes sans qu’un groupe de discussion dont elle fait partie ne lui adresse un message. 

Vous me direz : tous les messages ne sont pas importants ! Mais tous se manifestent par la même sonnerie… 

Que celui qui ne s’est jamais jeté sur son téléphone dans l’espoir de lire une notification croustillante me jette la première pierre. 

En fait, nous sommes tous frappés, quel que soit notre âge, par le FOMO[1]. C’est le terme anglais qui désigne la crainte de rater quelque chose d’important. 

Vous me répondrez peut-être : « je n’ai rien à voir avec votre nièce, mon bon monsieur, je suis au-dessus de ça. »

Et pourtant… internet a excité ce sentiment plus qu’aucune autre invention auparavant. 

Nous avons besoin de savoir – tout de suite !

En effet, puisque nous faisons tous partie de publics ciblés et, à l’occasion, relativement restreints, nous savons que l’information fait toute la différence. 

Donc, lorsqu’on nous propose un produit révolutionnaire à un prix dérisoire, lorsqu’on nous dit qu’il vient de se passer un évènement qui change tout, même s’il n’en a pas l’air, nous sommes aux aguets. 

Et le pire, c’est que ce n’est pas à tort, désormais. 

Il y a tout le temps des évènements qui changent la face du monde mais que peu d’entre nous comprennent comme tels. 

Il y a chaque jour des produits qui arrivent sur le marché et qui peuvent prendre beaucoup de valeur, voire décider de votre avenir en quelques années. 

Il y a très souvent des inventions médicales ou médicinales qui peuvent changer votre vie si vous les adoptez vraiment. 

Déjà qu’il n’est pas facile pour nous de faire le tri… alors pour ma chère Nadia, c’est encore pire : TOUT ce qui apparaît sur son écran est important !

Résultat : se concentrer sur ses examens lui demande des efforts considérables, une véritable abnégation. 

Et quand je lui dis : « Nadia, tout ira bien si tu éteins ton téléphone », elle est toute inquiète ! 

L’information, c’est ce qui fait le lien social. Et elle a peur d’être exclue de son groupe d’amies si elle ne réagit pas à la seconde aux dernières nouvelles…

Toute la vie de Nadia, c’est son téléphone

En fait, Nadia a deux gros problèmes, et le premier des deux, c’est qu’elle n’arrive pas à faire la part des choses.

Elle prend tout ce qui apparaît sur son écran pour quelque chose d’important. Nous avons tous tendance à le faire… et nous sommes tous déçus. 

Car nous sommes dans une contradiction permanente. 

D’un côté, nous avons besoin d’être alertés au cas où une nouvelle cruciale vient de tomber (plus par curiosité que par nécessité vitale, il faut l’admettre)

De l’autre, nous sommes sans arrêt sollicités par des canaux qui donnent rarement des informations aussi pertinentes que nous le voudrions. 

En somme, nous sommes tous accros au changement. 

Nous n’en avons jamais assez, et même déçus, nous continuons à rester « abonnés », « notifiés », au cas où quelque chose de vraiment croustillant nous tomberait dans l’escarcelle. 

Mais là où nous avons acquis un peu plus de recul, et où les nécessités de la vie hiérarchisent nos problèmes à notre place, ce n’est pas le cas pour Nadia. 

Aujourd’hui, tout le monde passe le bac, et si elle l’obtient, c’est justement pour être comme tout le monde. 

Elle n’y gagne rien si elle l’obtient, et elle y perd si elle ne l’a pas. 

Avoir son bac ne la distingue pas des autres en bien, c’est ne pas l’avoir qui la distinguerait en mal. 

Alors que lorsqu’elle discute avec ses amies, elle a l’impression d’être reconnue pour quelqu’un dont l’avis compte… 

Ce qui lui cause un autre problème, beaucoup plus grave. 

Alerte enlèvement ! La concentration a disparu !

Nadia, lorsqu’elle n’a pas son téléphone, y pense tout le temps. 

Et quand elle a son téléphone, elle est tellement partagée entre ses diverses applications, qu’elle ne sait plus où donner de la tête. 

Même lorsqu’on est à table, et qu’elle prend l’excuse de vérifier sur Google une information, il ne se passe pas une minute sans qu’elle n’ait oublié ce qu’elle cherchait. 

Toutes ces informations encombrent notre mémoire à court terme, qui sature très vite. 

C’est la dernière information qui nous arrive qui nous fait réagir. Si nous ne la traitons pas tout de suite, nous l’oublions immédiatement… 

Quant à la concentration proprement dite, elle est peu valorisée socialement, de même que le fait de travailler dur pour y arriver.

Aujourd’hui, 86% des Américains voudraient être influenceurs, c’est-à-dire de faire de la promotion de produits sur internet[2].

Toute la vie des jeunes est sur internet, et internet, c’est la communication à outrance, à toute vitesse. A quoi sert-il de se « prendre la tête », quand la superficialité est récompensée ?

Heureusement, Nadia a des parents qui ont les pieds sur terre, mais elle, elle a du mal à décrocher. A chaque « ping » de son téléphone, elle sursaute, ne peut s’empêcher de jeter un œil dessus. 

Et à vrai dire, 5 minutes de lecture consécutives, c’est le maximum qu’elle arrive à tenir… 

Vos enfants peuvent-ils s’en sortir tout seuls ? 

Pour réviser, beaucoup d’entre nous ont besoin d’une aide extérieure, et surtout de maturité et d’un exemple. 

Le mieux, c’est de partir s’aérer à la campagne, et si ce n’est pas possible, de passer un marché : révisions la journée, téléphone le soir, comme c’était le cas quand il n’y avait pas de portable. 

Nos addictions numériques sont les principaux adversaires de notre concentration. Le mieux est de s’en éloigner. 

Et si la personne n’y arrive pas elle-même, il faut que quelqu’un lui impose une discipline de l’extérieur. Cela passe aussi par un suivi du travail régulier. 

L’alimentation joue aussi un rôle très important. 

Il est important, en période de révision, de favoriser les protéines saines (légumes, viande à la limite), et de limiter à tout prix les sucres qui donnent envie de bondir de sa chaise et de gambader dehors. 

De toute façon, on ne peut pas faire l’économie d’un peu de marche ou d’un peu d’effort pour oxygéner le cerveau et évacuer la tension nerveuse. 

L’apport en oméga3 est bien sûr incontournable : tous les types de noix sont bons à prendre, mais pensez à l’huile de lin, aux poissons gras (thon, saumon, sardine), ou encore à préparer un délicieux guacamole ! 

Avec ces 3 plantes, votre cerveau est une fusée

Une fois réglée la question des réseaux sociaux et du téléphone portable, il y a un très bon remède au manque de concentration, que je prescris chaque fois qu’on me consulte sur la question. 

Il s’appelle PhytActiv et il contient 3 plantes qui sont le nec plus ultra pour améliorer la puissance de votre cerveau : 

  • Le basilic, antioxydant de choc, grâce à sa haute concentration en linalol. Il favorise ainsi la mémoire et la concentration, car il chasse les déchets qui encombrent les cellules de votre cerveau. En somme, il fait le ménage dans votre tête et rafraîchit vos pensées
  • Le nard de l’Himalaya ou Jatamansi, une plante indienne connue en Occident depuis toujours (on en parlait déjà dans la Bible…). Sa force ? Il vous apaise et il vous concentre. La méditation faite plante.
  • La noix de muscade, qui contient un ingrédient unique, la myristicine, qui est un réparateur du système nerveux. Son efficacité est telle qu’elle est régulièrement recommandée aux enfants atteints d’hyperactivité et de TDAH, le trouble pathologique de l’attention. Elle améliore l’apprentissage et, cerise sur le gâteau, elle est un antidépresseur naturel, ce qui n’est pas inutile pour les cerveaux épuisés. 

Dans le PhytActiv, ces plantes soigneusement cueillies, sont extraites à sec afin de préserver toutes les qualités, et de servir de remède pour atténuer le TDAH qui touche tant d’enfants désormais – ainsi que nombre d’adultes.

Voulez-vous que votre esprit fuse comme jamais ? 

Vous pensez qu’une personne de votre entourage a besoin d’un gros coup de pouce naturel pour réussir ses examens ou ses concours ? 

Retrouvez le PhytActiv en cliquant ici

Vous m’en direz des nouvelles !

Dr. Thierry Schmitz

Sources

[1] Acronyme de fear of missing out.

[2] https://www.konbini.com/arts/selon-une-etude-le-job-dinfluenceur-ferait-rever-86-des-jeunes-americains/

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