La déprime, ça se traite à la racine

Chère lectrice, cher lecteur,

L’hiver est la saison du vague à l’âme : cela ne changera jamais. Encore l’automne a-t-il ses plaisirs et ses beautés, les feuilles mortes qui se ramassent à la pelle…

…mais en hiver, elles sont toutes tombées. Les arbres sont squelettiques et le vent souffle dru. Quand il faut beau, il fait très froid ; quand il pleut, c’est souvent en trombe.

Résultat ? On n’a guère envie de sortir et de se dépenser, et l’on a tôt fait de se rouler en boule à la maison à attendre que ça passe.

Or c’est là, dans l’ennui et sous la lumière rare de l’hiver, que le manque d’énergie se couple avec des humeurs sombres. On n’a plus envie de rien faire, et la tristesse s’installe, parfois pour ne plus partir.

Le premier réflexe : nous faire bien à manger, profiter de quelque boisson avec les amis, ou bien aller chez le médecin nous faire prescrire quelques petits remontants…

C’est une pente glissante. Comme le disait déjà Platon, ce qui est grave, ce n’est pas d’avoir un moment de faiblesse, c’est d’en prendre l’habitude. Et le retour de bâton est parfois difficile.

A ce titre, vous n’imaginez pas tout le courrier que je reçois. Il est vrai que la santé mentale est devenue la préoccupation n°1 des Français…

Mais si je peux vous donner un seul conseil, c’est celui-ci : avant de passer aux mesures radicales, commencez d’abord par les solutions les plus douces.

Non seulement elles fonctionnent bien, mais il n’y a pas de conséquences sur votre existence – pas de prix « existentiel » à payer.

Après tout, à quoi cela sert d’arrêter de souffrir maintenant si c’est pour souffrir plus tard ?

D’où l’importance d’une solution juste et mesurée à nos humeurs sombres.

Ça fait des millénaires qu’on la traite

Depuis aussi longtemps qu’existe l’écriture, elle a servi à écrire des traités de médecine. Et depuis aussi longtemps qu’il existe de tels textes, nous avons des témoignages de la dépression.

Simplement, dans l’Antiquité, on parlait avec moins de finesse de tout cela. Déjà parce que c’était une maladie dont ne pouvaient se soucier que les gens fortunés.

En effet, quand on est si pauvre qu’on se demande comment on va nourrir ses enfants, ou se vêtir, la dépression est alors fatale – malheureusement, il n’y a personne pour se soucier de votre existence.

Cela devenait évidemment plus compliqué quand des dirigeants se retrouvaient incapables de gouverner, parce que cela mettait beaucoup de gens en danger.

On parlait alors, avec pudeur, de mélancolie. Spinoza en parlait comme une maladie de l’esprit, là où les autres maladies étaient pour lui des maladies du corps.

De fait, pour les personnes exécutant des tâches intellectuelles, le surmenage a toujours existé, sans compter l’abattement que causaient les malheurs ordinaires de la vie.

Rappelons qu’avant le XIXe siècle, donc pour l’essentiel de nos ancêtres, les deuils étaient très fréquents, et pas moins douloureux que pour nous.

Nous avons donc gravées, dans nos gènes, nos tendances à la dépression et nos capacités d’y résister.

À nous de trouver les forces pour désactiver les premières, et activer les secondes.

Là où Big Pharma fait son beurre, il y a un loup

Il y a eu les années Covid, dont nous avons tous gardé un traumatisme.

Big Pharma a financé la panique artificielle que nous avons vécu. Les médecins de plateau étaient grevés de conflits d’intérêt : ils étaient les marionnettes de cette industrie.

Big Pharma a donc obtenu que nous restions chez nous, que nous soyons enfermés au point d’affaiblir notre raison, voire que certains d’entre nous deviennent accros aux narcotiques ou aux médicaments.

Comme notre chère industrie pharmaceutique aime à faire feu de tout bois, et cueillette de tout ce qu’elle fait pousser, elle engrange les bénéfices de ses propres méfaits.

Il ne faut pas non plus s’étonner que les réseaux sociaux et les universités, sous l’influence d’associations fort mal intentionnées, insistent tant auprès des jeunes générations à propos de leur santé mentale.

Il ne s’agit pas seulement de créer des égéries victimaires, inspiratrices louches et dénonciatrices professionnelles, comme seules des périodes troublées les sécrètent en masse.

Il s’agit surtout de vendre les antidépresseurs et autres médicaments comme la forme absolue du soin de soi, impératif et transcendant. La seule façon de dire « stop » au reste du monde.
Dans cette perspective, avoir des problèmes psychiatriques, c’est récupérer un sentiment d’intouchabilité, de sécurité sacrosainte – soulager une individualité devenue trop lourde à porter.

Bref, comme le dit mon petit neveu : « se dire taré, c’est devenu cool ».

Retrouvez un moment d’insouciance

La dépression, c’est insupportable. Mais elle commence par une déprime. De la même façon qu’il nous paraît absurde de laisser une plaie s’infecter, il faut se charger de ses « mélancolies » le plus tôt possible.

Voit-on un changement dans son humeur, c’est qu’on a aussi besoin de réfléchir sur des moments difficiles qu’on vient de passer, des difficultés de l’existence que l’on n’a parfois pas digérées.

Lire sur le sujet qui nous donne du souci, parler à un professionnel, continuer à faire de l’exercice pour générer de l’endorphine, bien manger, ce sont des choses auxquelles nous devons nous accrocher.

Maintenant, quand les Anciens disaient mélancolie, c’était un terme générique. Pour nous, il y a la déprime occasionnelle et la dépression qui nous rend inapte au travail, parfois à nous lever de notre lit, et quelques fois à vivre même.

Donc, pour cela, je vous recommande le Phytoptim. C’est un complément alimentaire très doux, qui calme les brusques changements d’humeur, et qui ne crée pas d’accoutumance.

Juste, vous êtes détendu, et insouciant un bon moment.

Vous ne sentez plus ce poids énorme de l’existence, cette impuissance généralisée, cette honte sans raison réelle qui ne veut pas partir, et moins encore cette colère sotte qui ne nous saisit que pour nous tourmenter.

Pourtant, cela n’a rien de magique, il ne s’agit que du pouvoir des plantes. Mais c’est bien assez pour nous permettre de souffler pendant quelques temps.

Chaque nouvelle étude plébiscite ce remède

Le Phytoptim est composé de trois ingrédients qui ont depuis longtemps fait leur preuve.

Le premier est le nard de l’Himalaya, dont les propriétés sont désormais solidement et scientifiquement établies.

Cette plante est utilisée contre la dépression dans la médecine traditionnelle indienne depuis des milliers d’années, ce qui a accrédité son caractère mythique que l’on retrouve jusque dans la Bible.

En 2018, une étude a évalué sur des souris ces effets anxiolytiques, avec une efficacité remarquable1, déjà à la suite d’une étude plus ancienne.

Mais c’est en décembre dernier qu’a été publiée une étude en double aveugle sur 38 personnes qui atteste définitivement de l’efficacité de cet anxiolytique naturel sur l’être humain2

Cela représente une avancée extraordinaire, car les médicaments chimiques, avec les accoutumances et les intoxications qu’ils causent, compliquent assez rapidement la pathologie plutôt que de la résorber.

En outre, le nard de l’Himalaya possède nombre de propriétés médicinales, dont certaines très complémentaires. Ainsi, il est reconnu pour être

  • Anti-dégénératif (efficace contre les maladies de Parkinson et Alzheimer)
  • Anti-inflammatoire
  • Neuroprotecteur
  • Antidépressif3

C’est vraiment la solution la plus douce et la plus efficace qui existe contre l’anxiété et la dépression.

Bien sûr, dans le Phytoptim, il s’agit du nard de l’Himalaya de la meilleure qualité, et le remède est végane, sans sucre ajouté, prouvé cliniquement et 100% naturel.

Toutefois, pour lui donner une efficacité totale, les Phytoptim contient aussi deux ingrédients eux aussi parfaitement naturels, qui augmentent son effet et compensent l’effet légèrement sédatif du nard de l’Himalaya.

Votre chaleur humaine est toujours là, au fond de vous

D’un côté, il y a le gingembre, épice qui n’est plus à présenter, mais dont les qualités pour l’organisme et pour l’humeur sont très rapidement évidentes.

Une étude japonaise de 2019 a ainsi prouvé sur des souris le caractère hautement antidépressif du collagène propre au gingembre !4

Enfin, le dernier ingrédient est lui aussi de la plus haute qualité, puisqu’il s’agit de la griffonia, une plante qui contient naturellement du tryptophane. Or cette petite molécule a un effet assez remarquable.

En effet, le problème de la dépression pour la médecine moderne est qu’elle représente un dérèglement chimique cérébral résultant d’une usure ou d’un traumatisme psychologique. 

Or il n’y a pas de kiné pour l’intérieur du cerveau. Simplement, on peut essayer de redonner à notre matière grise les éléments pour qu’elle puisse d’elle-même réparer les connexions endommagées.

Le nard de l’Himalaya agit sur les récepteurs GABA qui permettent d’adoucir les douleurs, physiques et psychologiques. Mais le tryptophane de la griffonia permet en particulier de favoriser l’action de la sérotonine.

La plus importante revue scientifique au monde, Nature, a publié un article passionnant à ce sujet5.

Il s’agit d’une hormone qui nous permet de nous sentir bien avec les autres. En quelque sorte, il s’agit de l’hormone du partage, qui est essentielle à notre bien-être.

Car ce qui fait que les dépressions deviennent de plus en plus longues avec l’âge, c’est le sentiment d’être seul, incompris, incapable de partager quoi que ce soit.

Or ce sentiment n’est qu’un dysfonctionnement cérébral. Bien sûr, être dans des associations, être proche de ses amis et de sa famille, et se livrer à des exercices spirituels permet de garder un lien puissant avec les autres.

Mais nous avons tous des moments où le monde nous apparaît glacial et sans espoir. Simplement, ce n’est nullement une fatalité, car nous avons en nous les ressources du bonheur. Il suffit de les faire remonter à la surface.

C’est là, précisément, que le Phytoptim et son efficacité douce sont du plus grand secours. Pour tout savoir sur ce remède et vous le procurer, il vous suffit de cliquer ICI.

Ne vous laissez jamais abattre, le monde est trop beau pour ça,

Dr. Thierry Schmitz

Sources

[1] Razack S, Kandikattu HK, Venuprasad MP, Amruta N, Khanum F, Chuttani K, Mishra AK. Anxiolytic actions of Nardostachys jatamansi via GABA benzodiazepine channel complex mechanism and its biodistribution studies. Metab Brain Dis. 2018 Oct;

[2] Sheetal, Thosar & Swanand, Pathak & Wadnerwar, Nilima & Mohan, Yende & Rajkumar, Gupta. (2021). Comparative Study of Efficacy of Jatamansi (Nardostachys jatamansi DC) and Imipramine in Generalized Anxiety Disorder (G.A.D.): A Randomized Controlled Double Blind Clinical Trial. Journal of Pharmaceutical Research International

[3] Hilpi Pathak, Ramreddy Godela, Nardostachys jatamansi: Phytochemistry, ethnomedicinal uses, and pharmacological activities: A comprehensive review, Fitoterapia, Volume 172.

[4] Mizushige T, Nogimura D, Nagai A, Mitsuhashi H, Taga Y, Kusubata M, Hattori S, Kabuyama Y. Ginger-Degraded Collagen Hydrolysate Exhibits Antidepressant Activity in Mice. J Nutr Sci Vitaminol (Tokyo). 2019;65(3):251-257. doi: 10.3177/jnsv.65.251. PMID: 31257265.

[5] Zamoscik, V., Schmidt, S.N.L., Bravo, R. et al. Tryptophan-enriched diet or 5-hydroxytryptophan supplementation given in a randomized controlled trial impacts social cognition on a neural and behavioral level. Sci Rep 11, 21637 (2021).

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