La pilule bleue ? La nature fait mieux

Chère lectrice, cher lecteur,

On entend parler à tort et à travers de la santé sexuelle, et surtout à tort. La vraie santé sexuelle qui mérite toute l’attention, c’est celle du couple !

Car vous le savez, comme le béton est fait de sable et de ciment, un couple solide et fondé sur la tendresse et le plaisir.

Mais il est loin d’être évident de trouver les ressources. Ce n’est pas nécessairement que l’envie manque. C’est aussi une question de confiance, et pour nous les hommes, de confiance en soi.

Or si vous lisez cette lettre, vous savez qu’il existe dans la nature largement de quoi réveiller votre potentiel érotique masculin !

De quoi bien profiter de l’été comme lorsque vous étiez jeunes et pimpants. Après tout, une fois la lumière éteinte, la nature reprend ses droits…

Mais si vous voulez faire une petite cure pour réveiller ce potentiel qui ne fait que sommeiller au fond de vous, il faut tout de même s’y préparer un peu à l’avance…

Le temps de réveiller la bête qui est en vous !

Le retour de la testostérone

Aujourd’hui, on n’entend les jeunes hommes ne parler que de ça : « la testo » par-ci, « la testo » par-là.

Pour un regard extérieur, ce culte de la virilité peut paraître bien étrange… De mon temps, on n’avait pas besoin de louer la virilité : on nous envoyait à l’armée… ça nous passait le goût des rodomontades…

Mais désormais, nos jeunes hommes sont confrontés à un fléau que la civilisation n’avait jamais connu auparavant : les perturbateurs endocriniens.

Ils sont partout : dans votre savon liquide, dans les tuyaux de votre salle de bain, dans la plupart des plastiques, sur les tickets de caisse, dans les emballages…

Et je ne vous parle pas des produits les plus chimiques, comme les traitements ignifugés, les colles, les sprays, les produits de jardin…

Sans compter les œstrogènes (hormones féminisantes) que l’on trouve dans la nourriture (soja) ou dans l’eau courante.

Et cela, les jeunes hommes le voient : certains n’ont pas de barbe et gardent des physiques adolescents jusqu’à 30 ans, voire au-delà.

Le pire est que la société pousse à la féminisation des attitudes, parce que c’est un débouché économique porteur : on voit à présent des jeunes hommes qui portent du vernis ou qui se maquillent.

On n’avait pas vu ça depuis la Rome de la décadence, ou Babylone…

Le problème est que ça joue aussi sur vous, que vous ayez 60, 70 ou même 80 ans.

La perte de virilité n’a rien d’obligé

La testostérone ne fait pas toute la vigueur sexuelle… mais sans elle, très clairement, il n’y en a pas.

Or, vous le savez peut-être déjà, mais dès l’âge de 30 ans, la testostérone dans le corps humain ne cesse de diminuer, de 1 à 2% par an (et plus en cas d’interférence constante des perturbateurs endocriniens).

Résultat : à 60 ans, vous n’avez plus que la moitié de cette hormone essentielle de la virilité.

Le problème, c’est que si vous faites des piqûres de testostérone, vous allez vous sentir agité voire énervé très souvent… et votre corps ne va pas suivre.

Au contraire même : voyant que vous avez déjà plus que votre content de « testo », il risque même d’arrêter d’en produire !

Raison pour laquelle il vous faut de quoi recommence à produire de la testostérone naturellement – un traitement de fond.

L’océan : une source inépuisable de vigueur

Pour cela, nous avons puisé la force… des océans, le berceau même de la vie.

Il se trouve qu’au fond des mers gisent des trésors de vie à même de réveiller la libido la plus endormie.

Il s’agit de l’algue laminaria et du chitosan que l’on trouve dans la chair même de certains crabes.

Les laboratoires Perfect Health Solutions en ont fait une préparation d’une efficacité plus qu’éprouvée – plébiscitée même – par de très nombreux couples, depuis plus d’une décennie maintenant.

Cette solution s’appelle Androboost, et on peut dire qu’elle a fait ses preuves !

On y trouve également du zinc qui est LE minéral qui favorise l’activité testiculaire – ce qui est éprouvé scientifiquement par l’accroissement de la spermatogénèse.

Avec l’Androboost, vous avez de quoi faire. Si vous voulez en savoir plus sur ce mélange que j’ai prescrit avec succès à des centaines de couples, il vous suffit de cliquer ICI.

La pilule bleue peut aller se rhabiller

Certains ne jurent que par la petite pilule bleue, mais comme vous le savez, ce médicament est loin d’être bon pour le cœur.

À ce titre, rien de tel que de reprendre un peu d’exercice, bien meilleur pour le cœur, mais aussi les poumons, la circulation… tout ce qui vous permettra de redresser votre virilité.

Il y a aussi un moyen très sûr d’arriver aux mêmes effets que la petite pilule bleue, c’est-à-dire à retrouver assez de monoxyde d’azote dans le sang pour récupérer votre vigueur pleine et entière.

Il se trouve qu’il suffit de prendre de l’arginine, une petite molécule qui se trouve dans une plante parfaitement naturelle, qui s’appelle le Maca.

On l’appelle le radis péruvien : il pousse en très haute altitude. Il y a encore 30 ans, on ne le cultivait quasiment plus, jusqu’à ce qu’un président péruvien ait compris tout son potentiel.

C’est aujourd’hui l’un des principaux produits d’exportation du Pérou, mais… vers l’Asie !

Car le Maca reste encore mal connu dans nos contrées, malgré une réputation d’aphrodisiaque tout à fait méritée… Et les études sur le sujet, qui ont commencé il y a une petite vingtaine d’années, sont fort concluantes ! 1

Le mieux, comme je le dis souvent, est de l’éprouver vous-même, et de voir si ça vous convient après une bonne cure. Une semaine ou deux suffisent pour commencer à voir les premiers effets.

Cependant, un traitement de fond de deux ou trois mois est nettement plus recommandé, surtout pour une première cure. Mais comparé au prix des autres compléments, en constante augmentation, il est largement abordable. 

Le Maca que je prescris à tous les hommes qui me demandent un remède pour leurs petites baisses de régime sous la ceinture est 100% naturel, sans sucre ajouté, sans OGM, et adapté à tous les régimes.

Si vous voulez vous le procurer, il vous suffit de cliquer => ICI

N’hésitez pas à me faire part de vous retours, ils me sont très précieux !

Parce que tous les étés sont les étés de l’amour.

Dr. Thierry Schmitz

Sources

[1] Dording CM, Fisher L, Papakostas G, Farabaugh A, Sonawalla S, Fava M, Mischoulon D. A double-blind, randomized, pilot dose-finding study of maca root (L. meyenii) for the management of SSRI-induced sexual dysfunction. CNS Neurosci Ther. 2008

Si vous avez une question sur cet article, vous pouvez la poser ci-dessous.

En raison du nombre important d’inscrits, le Dr Schmitz ne pourra pas vous répondre personnellement. En revanche, il prendra connaissance de votre question et répondra aux questions les plus fréquemment posées et mettant les réponses au dessous l'article.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *