Le coup de stress de l’automne (n’est pas obligé)
Chère lectrice, cher lecteur,
Je dois vous le confesser : j’aime les rentrées.
Bien sûr, ce n’est pas agréable de sentir les vacances se terminer… mais la rentrée de septembre, c’est, depuis mon plus jeune âge, l’occasion de revoir mes camarades, puis mes amis, mes collègues, et commencer de nouveaux projets…
Une nouvelle année, ce sont de nouveaux défis, et un bond vers l’avenir, tout cela sous le soleil mordoré de l’été déclinant…
Puis vient l’automne. Et là, changement de décor.
L’automne, ce n’est pas que de la poésie
Au début de l’automne, il faut un peu plus froid, les feuilles tourbillonnent : bref, c’est le cycle des saisons, et c’est poétique.
Mais bien vite, on sent la fatigue qui arrive, une nouvelle routine qui commence, le temps qui devient plus gris, pluvieux, et on n’a qu’une seule envie après le travail : rentrer chez soi.
Oui, l’automne est une saison qui a ses plaisirs, mais elle a aussi ses stress. Le manque d’énergie fait qu’on se tourne plus volontiers vers le café, pour se remotiver.
On a moins envie de se promener, les sports de plein air sont moins agréables, quand la pluie et la boue ne viennent pas s’y mêler.
Et pourtant, les projets au travail sont bien réels, les cadences sont plus soutenues qu’en septembre. On rentre dans le vif ! Il faut terminer les projets avant l’hiver, que tout soit « béton ».
Pour les enfants aussi, le premier trimestre est un défi pour leurs cerveaux en formation, de même que le sport, qui les invite à progresser.
Mais progresser, avancer dans cette période où l’on n’a qu’une envie : rentrer chez soi et faire la sieste, est parfois une vraie gageure.
Stresser ne vous rend pas meilleur(e) au boulot
Le stress est essentiellement une question d’hygiène de vie. Malheureusement, la vie ne nous permet pas de facilement doser entre travail, projets personnels, famille, enfants voire petits-enfants.
Le problème, c’est quand tout ça vous tombe dessus en même temps. C’est toujours comme ça : tout s’accumule dans une même semaine sur vos épaules, les rendez-vous s’enchaînent et on finit la journée à pas d’heure, et le matin avec les yeux cernés.
Résultat, on reprend café sur café, et la perspective d’un week-end tranquille s’éloigne chaque semaine un peu plus.
Et bien sûr, je ne vous parle pas des innombrables contraintes entre pass sanitaire et masques étouffants qui empêchent de se concentrer, de communiquer, et même simplement, de reprendre son souffle…
Et si vous pouviez, même dans ces phases-là, trouver le bon moment de répit ? S’il était à portée de main, le remède qui vous redonne la sérénité que vous n’attendiez plus ? et la détente apaisée qui est la clef d’une bonne nuit de sommeil ?
Ce remède, ce n’est rien d’autre que les plantes.
Pour le repos, les plantes sont vos alliées
Les plantes ne sont pas seulement la seule et unique pharmacie qui ait marché depuis la nuit des temps sur l’être humain.
Les plantes sont aussi un contact avec la nature, avec la santé même, pour nous qui vivons en ville, et dont les journées effrénées ne nous apportent pas que des satisfactions.
Contre le stress, j’ai bien un petit quelque chose, que je prescris toujours pour les patients en surmenage. Cela s’appelle le phytostress.
Je trouve que ce petit remède peut avoir un grand effet apaisant, surtout entre 3 et 6 semaines après une rentrée, quand l’énergie des vacances s’est dissipée.
Rappelons que le stress crée de profonds déséquilibres dans l’organisme, ce qui peut conduire à toutes sortes de maladies graves.
Autant il y a des clefs vers la bonne santé, autant le stress est une clef vers la mauvaise santé et il est important de savoir en sortir.
Pourquoi ce remède a fait ses preuves
Dans la composition du Phytostress rentre du nard de l’Himalaya, une plante qui a acquis une aura légendaire et citée en Occident au moins depuis la Bible.
Cette plante a des propriétés assez étonnantes : elle aide la mémoire, vous permettant ainsi de vous fier complètement à vous-même.
Deuxième caractéristique importante : elle repose votre esprit, ce qui vous permet momentanément d’éviter le stress. Ainsi, vous êtes en de parfaites dispositions pour gérer un emploi du temps compliqué et penser aux bonnes décisions à prendre.
Ces deux qualités : amélioration des capacités de réflexion et repos intellectuel, favorisent la sagesse, parce qu’elles améliorent l’équilibre mental.
Vous n’avez rien à prouver à qui que ce soit, pour montrer que vous êtes au bon endroit au bon moment ; au contraire, vous n’avez qu’à vous en tenir à la meilleure solution.
Cette paix intérieure que favorise le nard de l’Himalaya (ou jatamansi), vient notamment du fait qu’il stimule la synthèse de sérotonine, cette hormone qui fait qu’on se sent en harmonie avec son environnement et heureux avec les autres.
La ballote noire, une déstressante unique
Dans le phytostress, il y a un autre ingrédient méconnu, qui est la ballote noire. Cette plante est apaisante et sans danger pour tous les âges. Elle n’a pas le moindre effet indésirable.
Elle permet de retrouver un bon sommeil, et peut être utilisée dans les cas de nausée due à la grossesse, ou si vous souffrez de la ménopause.
Rappelons que le phytostress peut être pris occasionnellement ou sur le long terme, et qu’il ne provoque aucune dépendance. Il est également recommandé dans les cas de troubles de l’attention sur les jeunes enfants.
Toutefois, rappelez-vous l’importance de trouver le temps pour faire de l’exercice modéré et régulier. L’alimentation est également importante, notamment en vitamines et oméga 3.
Car la santé physique et mentale, c’est avant tout un équilibre !
Portez-vous bien,
Dr. Thierry Schmitz
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