Chère lectrice, cher lecteur,

Il y a une tendance curieuse, relayée depuis quelque temps à la télévision et dans la presse. Elle se résume ainsi : et si vous mangiez des insectes ?

C’est même devenu un cliché des dîners en ville : « les insectes, c’est plein de protéines ! ».

Sous-entendu : c’est une énergie saine, et même écologique !

On a ainsi vu bien des célébrités d’Hollywood vanter ce genre de menu, d’Angelina Jolie à Nicole Kidman, en passant par Justin Timberlake, Zac Efron ou Salma Hayek^[1].

Quelle étrange démagogie !

Mais, malgré le sombre acharnement de Mme Jolie à démembrer des araignées avec les dents^[2], vous croyez vraiment qu’elle en mange tous les jours ?

En fait, vous l’avez compris, ce genre de mise en scène vise à vous convaincre de manger à peu près n’importe quoi. Ce qui est pour le moins dégradant.

Ainsi, depuis 2016, vous pouvez trouver à la vente, au Royaume-Uni, des cookies à base de farine de criquets^[3].

Leur créatrice se vante même du fait que « 80% de la population mondiale mange des insectes »…

Donc, si demain, les rayons des supermarchés sont vides, on vous proposera toujours quelque chose à manger. Et ce n’est pas dit que ça vous plaise.

Les insectes ne vous font pas du bien

C’est un fait universel : vous êtes constitué de ce que vous mangez !

Alors la nourriture à base d’insectes est riche… mais surtout en bactéries et en parasites.

Une très sérieuse étude a ainsi prouvé que plus de 80% des élevages d’insectes étaient infestés de parasites^[4]. Dans 30% des cas, ces parasites sont nocifs pour l’être humain. Et pas qu’un peu :

Il est scientifiquement avéré que les insectes ordinaires sont naturellement vecteurs de maladies microbiennes potentiellement mortelles : salmonelles^[5], listeria^[6], E.coli^[7], ainsi que la très dangereuse klebsiella pneumoniæ^[8].

D’où cette évidence : l’être humain n’est pas fait pour manger des insectes, sauf en cas de force majeure.

Vous n’avez donc aucune raison de manger des insectes !

Car vous pouvez vous nourrir encore sainement et correctement dans les années qui viennent. Mais encore faut-il savoir comment.

La nourriture de supermarché est CREUSE

Certes, l’énergie dont vous avez besoin dépend de votre apport en calories.

Mais rester en bonne santé, avoir des organes qui fonctionnent bien, ne pas tomber malade – ça, ça dépend de votre bon apport en micronutriments.

Ce sont les vitamines, les minéraux et quelques molécules très précieuses qu’on appelle oligo-éléments. 

Pourtant, il y en a de moins en moins dans les rayons de nos supermarchés.

Les industriels privilégient les variétés les plus volumineuses, et donc les moins concentrées en vitamines, minéraux et oligo-éléments.

C’est ce que nous savons depuis au moins 20 ans, avec la publication du rapport américain Still No Free Lunch^[9]. Mais ce n’est pas tout.

Ils arrachent les bonnes plantes du sol

Comme me l’a un jour expliqué un agronome renommé, les fruits et légumes d’aujourd’hui sont issus de métissages entre espèces végétales.

Effectivement, la première récolte issue de ce métissage a un volume spectaculaire.

Mais ce rendement exceptionnel baisse ensuite sur les récoltes suivantes, pour redevenir normal…

Or les agriculteurs doivent rester rentables, et produire autant de quantité que leurs voisins !

Pour ça, ils sont obligés d’arracher les plantes des années précédentes. Puis ils vont acheter de nouvelles semences à haut rendement.

Ceux qui leur vendent ces graines, « les semenciers », vous en avez déjà certainement entendu parler. Bayer-Monsanto est le plus grand de tous.

Malheureusement, cette forme d’agriculture a une conséquence très grave pour votre santé.

Les plantes d’autrefois étaient anciennes et leurs racines s’enfonçaient loin dans le sol.

Voilà pourquoi elles étaient pleines de vrais nutriments – de vitamines, de minéraux, d’oligo-éléments…

Les plantes issues de l’agriculture intensive n’ont pas du tout les mêmes qualités nutritives. Elles sont vides de micronutriments.

C’est la raison pour laquelle la nourriture de supermarché est déjà insuffisante pour vous garder en bonne santé.

100 fois moins de vitamine C qu’avant dans les pommes ?

Même les agronomes les plus partisans de l’industrie alimentaire sont obligés de l’admettre :

Il y a au bas mot 2 fois moins de vitamine C dans une pomme vendue au supermarché aujourd’hui que dans les variétés vendues il y a 50 ans^[10].

Et cette comparaison n’est pas juste, à mon avis. Car une variété d’il y a 50 ans, cultivée selon les méthodes actuelles, est également pauvre en nutriments.

D’autres chercheurs ont trouvé des résultats plus inquiétants : 100 fois moins de vitamine C dans les pommes, 21 fois moins de vitamines A dans les oranges, 4 fois moins de calcium dans les brocolis^[11].

Quant au bio… vous n’avez jamais autant entendu vanter ses mérites que depuis que l’industrie agroalimentaire a mis la main dessus.

Et je m’étonne que le prix soit si élevé pour un goût qui n’est pas toujours au rendez-vous – or le goût, ça reste quand même un bon indicateur de ce qu’il y a dans un fruit ou un légume.

Il n’y a donc guère d’autre choix que de les cultiver vous-mêmes…

Je suis pour ma part assez partisan de cette méthode, que vous pouvez expérimenter si vous avez un jardin.

Tout ce que j’arrive à faire pousser moi-même, je considère ça comme une petite victoire sur l’industrie agroalimentaire, et une grande victoire sur ma santé !

Mais pour être honnête avec vous, je n’ai pas le temps de faire pousser la totalité de mon alimentation…

Voilà pourquoi, moi aussi, je dois me rabattre sur une complémentation de qualité.

Pardonnez-moi, mais…

J’ai récemment fait la promotion d’un programme appelé Nutribase. L’offre consiste à acheter un lot de compléments alimentaires à prix réduit, pour faire des réserves pour les mois à venir.

J’ai été assez insistant, et si certains d’entre vous ont été choqués par le ton que j’ai pris, j’en suis désolé.

Mais si j’ai tant insisté, pardonnez-moi, c’est que je pense que nous dansons sur un volcan.

La situation alimentaire européenne m’inquiète, et cela fait déjà quelques mois que j’ai commencé à faire des réserves, notamment en compléments alimentaires.

Donc, pour ma part, je crois vraiment dans ce programme, parce que j’en suis le premier client.

Il n’y a que les produits Perfect Health Solutions que je puisse recommander les yeux fermés. Ils sont très attentifs aux retours que je peux leur faire. Ils sont sérieux et vigilants.

D’autre part, jamais je ne recommande un complément que je n’aie moi-même éprouvé.

Si je n’ai pas moi-même prouvé son efficacité sur mon propre corps, ce sont mes patients qui en ont fait d’excellents retours, avant que je ne vous le recommande.

Après tout, si vous pensez que la situation alimentaire n’est pas un problème, ce programme n’est pas pour vous.

Il en va de même si vous avez autour de chez vous des paysans dont les produits sont sains.

Mais si vous vivez en ville, ou que vous n’avez pas accès à un jardin, il vaut mieux prévenir que guérir.

Car, bien que je souhaite de tout cœur que de 2023 soit une année de paix et d’abondance, je préfère éviter les mauvaises surprises.

On ne joue pas avec la nourriture

Nous l’avons tous remarqué, les prix de la nourriture augmentent beaucoup.

Les agriculteurs favorisent donc déjà des variétés volumineuses, moins goûteuses, et moins concentrées en nutriments essentiels.

Or, les risques de carences sont des risques de mauvaise santé.

C’est pour prévenir ça qu’il y a des compléments alimentaires. Mais l’offre Nutribase vous propose en plus la sécurité pour les mois à venir.

Il s’agit purement et simplement d’acheter pour 6 mois ou 1 an de compléments de la meilleure qualité, au prix de 2022.

Mais même si cela vous paraît cher – et faire des réserves représente toujours un investissement – ce n’est rien par rapport aux prix de 2023.

Bien sûr, vous pouvez m’objecter que si 2023 est une bonne année, ces réserves auront été faites pour rien.

Rassurez-vous, les compléments alimentaires du programme Nutribase sont solides et peuvent se conserver longtemps.

Quant aux augmentations des prix en 2023, toutes les entreprises les ont évaluées. Seulement elles ne les ont pas encore répercutées.

On parle pudiquement, sur la nourriture, d’une « inflation à deux chiffres »^[12]. Ce qui veut dire que les prix pourraient aller jusqu’à doubler. Ce que naturellement, je n’espère pas.

Mais si cela vous intéresse d’acheter vos compléments alimentaires au prix d’aujourd’hui plutôt qu’au prix de demain, vous pouvez cliquer ici.

Portez-vous bien,

Dr. Thierry Schmitz