Sexualité : 5 bonnes raisons de pimenter votre vie de couple après 50 ans
Chère lectrice, cher lecteur,
Il existe une vérité que bien des pudibonds ne veulent pas entendre…
Le sexe, c’est la santé !
Et c’est particulièrement vrai après 50 ans !
Malheureusement, c’est à cet âge-là qu’on commence à observer chez les deux sexes des problèmes que je qualifierais – si vous me passez l’expression – de « mécaniques ».
Une bonne santé sexuelle dépend d’une multitude de facteurs, mais le fait est qu’après 50 ans, votre corps répond moins facilement à vos désirs.
Il existe pourtant des remèdes parfaitement naturels qui vous permettent, aujourd’hui comme hier, de profiter d’une pleine santé sexuelle – toute votre vie.
Car c’est un fait : les femmes ne voient pas leur désir diminuer après la ménopause. Quant à l’andropause… la « fin » du désir masculin, elle n’arrive normalement que fort tard dans la vie – pas avant 80 ans.
En réalité, chaque âge à ses problèmes sexuels. Le seul tort consiste à tenir celles de l’âge mûr pour irrémédiables – alors qu’elles le sont beaucoup moins qu’on ne le croit.
5 raisons de continuer à faire l’amour quoiqu’il arrive
- L’activité sexuelle est excellente pour le cœur ! C’est la fédération française de cardiologie qui le dit ! Même l’organisation mondiale de la santé est d’accord !1 Cela correspond à un bon exercice physique. L’activité sexuelle est recommandée par la fédération de cardiologie et ce, même si vous avez des problèmes cardiaques.
- Les orgasmes sont très bons pour la santé féminine : ils améliorent la résistance à la douleur et diminuent nettement le stress2. En plus, ils améliorent les défenses immunitaires chez les hommes !3
- En 2016, une méta-étude portant sur près de 500 000 hommes, a remarqué que les hommes qui avaient plus de 20 éjaculations par mois, avaient 20% de risques de cancer de la prostate en moins – en comparaison de ceux qui n’en avaient que 7 par mois ou moins4.
- Pour les femmes, les rapports sexuels sont de plus en plus satisfaisants avec l’âge ! C’est ce que révèle une étude de la très sérieuse revue de médecine américaine, parue en 20125.
- Faire l’amour freine le vieillissement ! Selon les études du docteur britannique David Weeks, les femmes qui font l’amour 3 fois par semaine paraissent en moyenne 7 ans plus jeunes que celles qui ne le font que deux fois. De plus, puisque faire l’amour protège le cœur et que les problèmes cardiovasculaires représentent la cause de mortalité la plus importante dans les sociétés développées, il va de soi que le sexe allonge l’espérance de vie ! Ainsi une étude galloise a prouvé dès 1997 que les hommes qui font au moins 2 fois l’amour par semaine, ont deux fois moins de risques de mourir que ceux qui le font moins !6
Le désir commence par le plaisir
La plupart des couples n’arrêtent pas de faire l’amour parce qu’ils ne se plaisent plus. Car le plus souvent, ils s’aiment encore.
Non, si la plupart des couples arrêtent de faire l’amour après 50 ans, c’est parce que les partenaires doutent d’eux-mêmes.
Rappelons que c’est le plaisir qui suscite le désir !
Mais comme je l’ai dit, les obstacles mécaniques peuvent être résolus naturellement. Il est désormais loin le temps où la « fin de la sexualité » était une fatalité !
Résorber la ménopause, c’est possible
La ménopause n’est pas une maladie mais un phénomène naturel. Pourtant, c’est un fait indéniable : ses très nombreux désagréments sont un frein pour la sexualité du couple.
En effet, nombre de femmes se sentent gênées, amoindries, sinon handicapées par les effets de la ménopause. Je parle ici, entre autres, des bouffées de chaleur, des insomnies, ou encore de la fatigue dès le réveil…
Le pire effet sur la sexualité reste la sécheresse vaginale – faisant de la ménopause un moment douloureux dans la vie d’une femme, sinon traumatisant.
Pour cela toutefois, il existe pourtant un remède parfaitement naturel, qui fait partie de la pharmacopée d’Extrême-Orient depuis des temps immémoriaux.
Il s’agit d’une simple racine, appelée le yam, ou igname. On dirait même qu’elle est faite spécialement pour les femmes, car elle réduit 80% des désagréments provoqués par la ménopause.
Et le tout, sans recourir à un quelconque moment aux hormones de synthèse qui ont fait tant de mal à tant de femmes ces dernières années – pas moins de 20 000 mortes reconnus par la médecine française…[7]
Cette simple racine a déjà fait ses preuves, puisque c’est à partir d’elles qu’ont été conçues les premières pilules contraceptives. Mais aujourd’hui, il ne s’agit plus d’isoler une partie de la plante, mais de l’utiliser toute entière pour ses bienfaits de modulation hormonale.
Une fois la sérénité retrouvée, vous aurez, je vous prie de le croire, le corps et l’esprit disponibles pour récupérer une libido digne de ce nom !
Si cette plante vous intéresse, il existe aujourd’hui une crème qui la concentre et qui vous assure de profiter de la totalité de ses bienfaits. Pour en savoir plus, cliquez ici.
Monsieur, retrouvez l’obélisque de la concorde
Monsieur, peut-être l’ignorez-vous, mais la virilité est liée à une hormone, c’est-à-dire à un petit messager moléculaire que votre corps secrète, et qui s’appelle la testostérone.
C’est elle qui donne l’envie sexuelle, favorise la pousse des poils et de la barbe, mais aussi augmente la force physique et permet la libération de l’adrénaline, une autre hormone qui donne un surcroît de force (et d’agressivité).
Les hommes atteignent le pic de la production de testostérone autour des 30 ans. Après, elle décline lentement, d’1 à 2% par an.
Le problème, c’est que la testostérone est indispensable à l’érection, et donc à une sexualité épanouie.
Or cette précieuse hormone a aujourd’hui aussi bien des amis que des ennemis.
Ses ennemis contemporains sont de deux sortes, et ils sont particulièrement insidieux :
Il y a d’un côté les perturbateurs endocriniens, des hormones féminines artificielles qui se retrouvent partout, spécialement dans les plastiques mous – mais aussi dans un très grand nombre de produits chimiques.
De l’autre côté, la bouée qui se forme autour du ventre, suite, le plus souvent, à l’absorption excessive de sucre (sous forme d’alcool ou de friandises), entraîne la production d’une enzyme appelée aromatase, qui est l’ennemie naturelle de la testostérone.
Heureusement, contre cela, il existe aujourd’hui une solution parfaitement naturelle, qui ne bouleverse pas votre corps comme les injections de testostérone.
Au contraire, fabriquée à partir de produits uniquement marins, ce remède appelé Androboost vous permet de refabriquer juste la testostérone dont vous avez besoin, pour retrouver cette puissance sexuelle qui est le ciment du couple.
L’essentiel, c’est de continuer à prendre du plaisir quoi qu’il arrive !
Dr. Thierry Schmitz
Si vous avez une question sur cet article, vous pouvez la poser ci-dessous.
En raison du nombre important d’inscrits, le Dr Schmitz ne pourra pas vous répondre personnellement. En revanche, il prendra connaissance de votre question et répondra aux questions les plus fréquemment posées et mettant les réponses au dessous l'article.