Chère lectrice, cher lecteur,

Rien n’est plus nécessaire dans notre corps que les antioxydants.

En effet, chacune des cellules de notre corps respire. Elle engrange de l’oxygène, qu’elle consume dans de petites centrales électriques appelées mitochondries.

Évidemment, ces centrales sont bien plus nombreuses dans les cellules de l’appareil respiratoire et cardio-vasculaire, qui effectuent non seulement le travail pour elles-mêmes, mais pour tout le corps.

Sauf que les cellules ne peuvent pas évacuer le carbone comme le font nos poumons, qui se décrassent tout seuls.

Au contraire, lorsqu’elles « respirent », nos cellules excrètent une espèce de rouille corrosive que l’on appelle les radicaux libres.

Ces radicaux libres, chargés négativement, « déchirent » les molécules auxquels ils s’accrochent, entraînant la destruction progressive de la cellule.

Plus il y a de radicaux libres, plus la cellule est en mauvais état, et plus elle vieillit vite. Elle doit être remplacée par une nouvelle.

En résultent 2 problèmes gravissimes pour votre corps, le vieillissement et le cancer. Et pour prévenir ça, il n’existe qu’un seul remède…

Ces molécules vous nettoient en profondeur

Le premier problème est que notre matériel génétique est limité du point de vue des reproductions cellulaires. Plus nous le mettons à contribution, plus il laisse durer les cellules en mauvais état.

Un peu comme si, sur une voiture neuve, vous remplacez le parechoc à la moindre rayure la première année. Mais au bout de 20 ans, vu l’état de la voiture, vous le faites tenir avec du scotch…

De fait : lorsque nos cellules doivent tenir plus longtemps, elles sont plus usées, et c’est cela, le vieillissement.

Mais ce n’est pas la seule conséquence des radicaux libres. Car plus l’usure des cellules est accélérée, plus il est possible que se forme une anomalie : une cellule qui oublie qu’elle appartient à votre corps.

C’est le CANCER. Et pour éviter cela, il est important d’avoir de bons apports en antioxydants, qui justement nettoient de vos cellules les radicaux libres.

Bonne nouvelle : le meilleur des antioxydants, vous le fabriquez déjà.

Mauvaise nouvelle : vous n’en fabriquez pas assez.

Heureusement, il existe aujourd’hui un moyen infaillible d’avoir un apport idéal en antioxydant, afin de freiner le vieillissement comme le fait un frein ABS, avec efficacité et sécurité – et de prévenir d’autant les risques de cancer.

L’alimentation n’est qu’une première étape

L’alimentation la plus saine qui soit, c’est avant tout une assiette pleine de légumes colorés. Ils sont bondés de polyphénols, qui leur donnent leur couleur, et qui sont les plus puissants antioxydants que vous pouvez trouver dans la nature.

Il ne faut pas non plus oublier l’acide ascorbique, aussi appelé vitamine C, et qui est très présent dans les agrumes (oranges, citrons, pamplemousses, clémentines, mandarines…)

C’est simple : votre corps ne peut pas vivre sans vitamine C : il lui faut aussi cet antioxydant venu de l’extérieur. Il n’est pourtant qu’un auxiliaire, c’est-à-dire une aide.

Car le premier des antioxydants, c’est votre corps qui le fabrique, ou plus exactement, votre foie.

Sans lui, vos cellules déclarent forfait, et après elle, vos tissus et vos organes : en un mot, vous risquez un trépas rapide, et possiblement fort douloureux.

Cet antioxydant indispensable s’appelle le glutathion. Et tout le vieillissement dans votre corps dépend du fait que vous en manquiez de plus en plus avec l’âge.

Mais le glutathion, hélas, ne se laisse pas dompter si facilement…

Votre intestin n’est pas programmé pour ça

Le glutathion est une molécule merveilleuse, et c’est grâce à elle que vous et moi, nous sommes en vie.

C’est néanmoins une cellule très complexe, que le corps humain fabrique, et de plus en plus difficilement avec l’âge.

La biochimie contemporaine sait aujourd’hui comment fabriquer cette molécule, mais vous l’administrer pose quelques inconvénients, et, dans une certaine mesure, ne sert pas à grand-chose.

En effet, votre intestin n’apprécie guère les molécules très complexes : il prend des briques dans les aliments que vous lui donnez, afin que votre corps en fasse des cellules, des tissus, des organes. 

Lorsqu’une grosse molécule complexe lui arrive, il a tendance à la laisser passer, car les toxiques sont eux aussi des molécules grosses et complexes dont il se méfie.

Mais de toute façon, votre intestin serait bien peu capable de faire grand-chose du glutathion : soit il le découperait, et ce ne serait plus du glutathion, soit il ne saurait pas le distribuer tel quel à l’intérieur du corps.

Dans les faits, notre corps est fait pour produire lui-même son glutathion, pas pour le trouver dans l’alimentation – c’est normal, le glutathion n’existe quasiment pas tel quel dans la nature.

Il n’existe donc qu’un seul moyen pour maximiser la présence de glutathion dans vos cellules.

Ils ont trouvé la formule qui change tout

Chez Lifespan+, ils ont trouvé comment contourner le problème : il s’agit de donner à votre corps les briques à partir duquel il va pouvoir fabriquer du glutathion.

Du glutathion produit à la chaîne et en grandes quantité, afin de faire un grand ménage de printemps dans vos cellules.

Pour cela, Lifespan+ a fabriqué un composé unique, le GLYNAC, composé des deux principaux ingrédients du glutathion, que le corps ne manque d’assimiler sous aucun prétexte !

Le premier est évidemment le corps même du glutathion, à savoir la N-acétyl-cystéine, qui est capable de changer à elle seule votre niveau de forme, de tonus, et même d’humeur.

Il y a souvent un avant et un après la prise de N-acétyl-cystéine, car elle résout d’un coup beaucoup de problèmes du corps – reste à savoir de ce que vous faites de votre corps lorsqu’il a retrouvé sa santé !

Mais en elle-même, la N-acétyl-cystéine (NAC) dépend pour son bon fonctionnement d’une petite brique, appelée glycine.

C’est elle qui fait que les gens d’une quarantaine ou d’une cinquantaine d’années se sentent beaucoup mieux après une prise de NAC. Elle devient elle aussi absolument nécessaire passés les 55 ans.

Et cela tombe bien, car une cure de glycine ne peut pas vous faire de mal !

Votre peau va prendre un coup de jeune

La glycine est un petit acide aminé, une de ces protéines très rares qui peut faire toute la différence pour votre santé globale.

Votre corps l’utilise pour fabriquer d’autres composés rares et précieux, comme le glutathion, mais aussi comme le collagène.

Or c’est de votre collagène que dépend l’élasticité et la santé de votre peau, mais aussi de vos os, de vos tendons, de vos ligaments et donc de vos articulations.

En plus, la glycine permet la régénération des tissus et la cicatrisation des plaies.

Elle agit aussi comme un neurotransmetteur inhibiteur, ce qui signifie qu’elle facilite le retour au calme, à la tranquillité.

Votre sommeil s’en trouve amélioré d’autant, votre anxiété diminue, vous utilisez mieux votre énergie et donc vous avez moins tendance à prendre du poids…

Ça va vous faire un choc d’être aussi en forme

Le GLYNAC de Lifespan+ est une formule comme il n’en existe pas ailleurs, et dont l’efficacité n’est pas à prouver…

…parce que votre corps vous prouve chaque jour son fonctionnement.

En effet, le GLYNAC ne fait que renforcer la fonction naturelle de rajeunissement de votre corps, sans laquelle vous ne pourriez même pas vivre.

C’est la toute la force d’une formule qui utilise les forces intérieures de votre organisme pour les décupler et vous permettre d’atteindre votre plein potentiel de santé.

Prendre du GLYNAC, c’est retrouver la meilleure version physique de soi-même, si bien que cela fait un CHOC chez la plupart des personnes qui l’essaient.

En effet, elles se demandent ce qu’elles vont pouvoir faire de toute cette énergie, de cette santé retrouvée.

Bien sûr, ce choc ne durera pas longtemps : je ne doute pas que vous saurez facilement quoi faire de toute cette énergie retrouvée !

C’est néanmoins le meilleur état de santé dans lequel vous pouvez vous retrouver, et quoiqu’il arrive, c’est un moment formidable.

Pour vous procurer du GLYNAC, il vous suffit de cliquer ICI.

Vous m’en direz des nouvelles,

Dr. Thierry Schmitz