Comment en finir avec votre bedaine

Chère lectrice, cher lecteur,

Pendant des siècles, être bien-portant était un luxe. Et quand j’écris « bien-portant », je veux dire « en surpoids ». 

En effet, les famines étaient courantes par le passé, et jusqu’à la seconde guerre mondiale incluse, il était courant d’avoir faim. 

Voilà pourquoi notre corps s’est adapté, tout au long des millénaires, afin de pouvoir emmagasiner des réserves. 

Mais cette évolution n’avait pas pris en compte la situation que nous vivons depuis quelques dizaines d’années, ce qui représente même pas un confetti dans la longue histoire de l’espèce humaine. 

Cette situation gravissime, vous la connaissez : notre alimentation moderne est désormais pleine de sucres et de graisses nocives. 

Cela représente souvent bien plus de calories que nous n’en avons besoin, que nous stockons sont forme de graisse…

A ce titre, la graisse abdominale ou viscérale, qui s’installe sous les muscles de notre ventre, représente un fardeau terrible

D’abord, parce qu’elle est difficile à perdre ; ensuite, parce qu’elle agit comme une glande déréglée dans votre organisme, et ses répercussions sur votre santé sont particulièrement néfastes. 

Ainsi, le diabète de type 2 n’est que le moindre des maux que peut vous causer une graisse abdominale excessive, sur le long terme.

Heureusement, si vous décidez d’en finir avec ce « ventre » que vous détestez, et qui vous accompagne partout malgré vous, j’ai quelques solutions pour vous.

La graisse viscérale : danger !

Il y a deux types de graisse : les bourrelets, sur les côtés du corps principalement, et la graisse située au plus profond de l’abdomen : c’est celle-là, la graisse ventrale, abdominale ou viscérale.

En principe, sauf en cas d’obésité manifeste, 90% de la graisse de votre corps se trouve juste sous la peau : on l’appelle sous-cutanée. Cette graisse est la plus molle. 

Ce sont les 10% restants qui représentent un danger : cette graisse est hors de portée, et vous ne pouvez pas la pincer. 

Elle remplit des interstices autour du foie, des intestins, et « protège » en quelques sortes vos organes internes, vos viscères. 

En particulier, elle remplit l’épiploon, un filet graisseux qui forme deux feuillets protecteurs – c’est l’équivalent humain de la crépine qui recouvre les terrines ou les crépinettes. 

A mesure qu’il se remplit de graisse, l’épiploon se durcit et s’épaissit, le rendant de plus en plus difficile à « faire fondre ». De plus, votre corps commence de plus en plus à ressembler à une pomme, avec un ventre proéminent. 

Or cela pose problème, car ce n’est pas seulement un poids supplémentaire à porter, c’est une source de poison pour votre organisme. 

Ce lent poison qui s’insinue en vous

Il est fermement établi depuis 10 ans que la graisse n’est pas simplement un stockage de calories qui sert à isoler du froid. C’est un organe hormonal à part entière, et même le premier en taille et en poids.

L’obésité représente un moment où cet organe s’emballe, et l’accumulation de graisse viscérale est le point de bascule vers cette situation très dangereuse pour votre corps. 

Car lorsque le corps atteint l’état d’obésité, cela représente une démultiplication dangereuse du nombre ou de la taille des cellules de graisse, ou encore des deux. 

Or le corps apprécie très peu cette surcharge pondérale, qui est aussi un gonflement excessif du premier organe endocrinien en poids et en taille. 

Cela a pour conséquence une inflammation chronique – donc permanente, et qui s’aggrave avec le temps. 

Il en résulte une dérégulation de la production des marqueurs de l’inflammation graisseuse, les adipocytokines

Ainsi, le tissu adipeux est infiltré par des globules blancs affolés – les forteresses mobiles de l’immunité – qui se mettent à dérégler complètement son fonctionnement. 

Les résultats pour le corps sont catastrophiques, d’où l’importance pour chacun d’entre nous de surveiller son tour de taille, et de faire en sorte qu’il ne dépasse pas celui du torse. 

Pour cela, il importe de mesurer le tour du ventre au niveau du nombril, avec le tour de torse, pris sous les aisselles. Normalement, votre tour de ventre doit être égal ou inférieur à celui de votre torse. 

1kg en moins : 2% de risques de maladie cardio-vasculaire en moins

En un mot comme en cent, la graisse saine produit plus de molécules bénéfiques ; la graisse malsaine, viscérale, plus de molécules nocives. 

Les maladies cardiovasculaires qui peuvent en résulter sont le premier des risques que l’on prend avec une surcharge pondérale élevée.

Une vaste étude, pratiquée sur près de 25000 personnes, a montré que les femmes de 45 à 79 ans, dont la taille était plus large que le torse, avaient plus du double de risques de maladie cardiaque

Cette étude a également conclu que pour chaque kilo perdu, les risques de maladie cardio-vasculaires diminuaient de 2% chez les hommes comme chez les femmes. 

Chaque réduction de la taille de 5 cm représentait une baisse de risque de 15% pour les femmes et de 11% pour les hommes. 

De plus, l’accumulation de graisse viscérale cause une augmentation de la pression artérielle, du taux des lipides dans le sang, dont moins de bon cholestérol et plus de mauvais.

Il faut bien sûr éviter, sous quelque prétexte que ce soit, d’arriver au stade du « syndrome métabolique ». 

Cette « maladie » est en fait un dérèglement total du corps dû à l’obésité, où se conjuguent diabète de type 2, maladies cardiovasculaires, avec d’autres complications. 

Hélas, l’obésité, ce n’est pas (seulement) peser 200 kilos, et ça n’arrive pas qu’aux autres. 

4 autres maladies graves dues à l’obésité : 

  • La démence : Il a été démontré que les patients qui étaient obèses au début de la quarantaine avaient 74% de risque en plus d’avoir d’avoir des dégénérescences cognitives. 
  • L’asthme : une étude a montré que les femmes ayant un tour de taille de plus de 90 cm avaient 37% de risques en plus de développer de l’asthme que les autres femmes. Ceci serait dû au caractère inflammatoire de la graisse ventrale, dont les répercussions s’observeraient jusque dans les voies respiratoires. 
  • Le cancer du sein : Il a été avéré que l’obésité augmentait les risques de cancers du sein post-ménopause, et qu’elle augmentait aussi les cancers du sein agressifs, à cause des facteurs inflammatoires. De même, il a été observé statistiquement qu’une perte de poids diminuait le risque du cancer du sein. 
  • Le cancer colorectal : les obèses ont 30% de risques en plus d’avoir un cancer colorectal. 

Le glissement vers l’obésité… et comment l’éviter

La graisse ventrale dépend de bien des facteurs : de vos gènes, de vos hormones, de votre âge, de votre poids de naissance. 

Si vous êtes une femme et que vous avez eu un enfant, vous risquez plus d’en accumuler. Il en va de même après la ménopause. 

Ce qu’il faut retenir, c’est que la graisse ventrale est celle qui part en premier quand vous changer de mode de vie et que vous faites de l’exercice. 

Toutefois, il faut rester vigilant vis-à-vis de son poids. Il y a une différence entre assumer ses rondeurs et se laisser dépasser par elles – ce qu’ont fait beaucoup d’entre nous, moi y compris, au cours des confinements successifs. 

On croit souvent qu’on ne sera jamais obèse, et on ne se voit pas le devenir. Or, je regrette d’avoir à l’écrire, mais nous pouvons tous devenir obèses. 

La sédentarité est l’ennemie de la bonne santé, et il en est ainsi depuis 10 000 ans. Si nous avons renoncé au nomadisme, c’est dans l’espoir de vivre sans crainte ni faim, mais pas pour vivre en meilleure santé.

Or dans une société où tout est disponible en un clic, où même pour le travail, on a de moins en moins besoin de sortir de chez nous, on ne peut vivre sainement sans faire constamment des efforts de mobilité. 

Un seul remède : restez positif

Parler de poids est toujours une question délicate. Manger est l’un des principaux plaisirs de l’existence, et le moyen le plus rapide et le plus courant pour compenser le stress… 

Mais pour prendre soin de soi, il est nécessaire de passer par quelques petits efforts qui vous feront beaucoup de bien, physiquement et mentalement. 

Soyez toujours mobile : cela vous donne déjà une base de consommation calorique. 

Si vous le pouvez, marchez ! Le mieux est de faire une demi-heure d’activité modérée par jour comme la marche rapide ou du vélo en douceur.

En vérité, de mon côté, j’ai tout essayé, et je dois vous donner mon secret : faites-vous plaisir. Trouvez les activités physiques qui vous plaisent le mieux et pratiquez-les en alternance. 

L’avantage du vélo en extérieur par exemple, c’est que le paysage défile. C’est autre chose que de fixer le mur chez vous ou à la salle, ou encore de regarder un écran ! En plus de respirer le bon air… 

La nourriture est un problème quand on est en surpoids, car généralement si on l’est, c’est qu’on aime bien manger ! 

Et rien n’est plus facile que de dire : « Restreignez-vous » ! Ceux qui le répètent le plus sont ceux à qui cela demande le moins d’efforts… 

Si vous y mettez du vôtre, ça se fera tout seul 

Sur les quantités de nourriture, c’est très simple : levez-vous tôt et prenez une demi-heure par jour au moins pour faire de l’exercice sérieusement, sans objectif fou. 

Personne ne devient un athlète du jour au lendemain, même avec la meilleure volonté du monde. L’essentiel est d’être progressif dans l’effort, doucement. 

Croire qu’on peut revenir d’un coup à ses performances de jeunesse, c’est surtout le meilleur moyen de se blesser et de retomber dans l’inaction. Voire pire, si vous avez un cœur fragile. 

Si vous arrivez au bout de quelques temps à passer à une heure d’exercice quotidien, c’est parfait, mais je le répète : cela doit se faire progressivement, naturellement.

Gardez bien en tête que vous devez y prendre du plaisir, même si c’est difficile. Une bonne douche après l’exercice décuple la récompense et le bien-être qu’il vous procure. 

Vous allez le voir : votre appétit s’adapte à votre dépense physique pour une simple et bonne raison : vous évacuez le stress en vous dépensant, et donc vous n’avez plus besoin de le compenser en mangeant. 

Il n’y a pas de raccourci pour mincir, mais… 

Alors, c’est une évidence : vous devez limiter les excès de sucre. Un petit « gueuleton », une part de gâteau d’anniversaire une fois par mois, ce n’est pas ce qui brisera votre élan. 

Mais évitez de consommer une tablette de chocolat par jour, par exemple. Ce sont les habitudes sucrées qui sont de loin les plus nocives. 

De toute façon, plus vous ferez d’exercice, plus vos fringales de sucre diminueront, même si vous aimez beaucoup les sucreries.

Un bon sommeil est important, mais vous le trouverez beaucoup plus facilement en vous dépensant. 

Enfin, je ne vous recommande pas les machines à pulsation électrique pour les abdominaux. Et je vais vous dire pourquoi. 

Vous avez besoin d’une victoire

Déjà parce que je doute que votre corps et votre subconscient apprécient l’électrocution permanente. Pour ma part, je pense que c’est surtout traumatisant, même si on ne s’en rend pas compte.

Et d’autre part, parce que ce dont vous avez besoin, c’est du tonus, donc de remporter des victoires sur vous-même, même tout petites. 

Chaque jour où vous arrivez à faire de l’exercice est une victoire. 

Quand vous prenez du poids, c’est une façon de résister au courant du monde, mais cette force d’inertie se retourne contre vous et risque de vous faire couler. 

Votre esprit est le reflet de votre corps 

Aussi, les machines à pulsation peuvent bien marcher sur les militaires ou les sportifs professionnels en rééducation. Dans ce cas, ils accompagnent des gens très actifs, qui ont affuté leur esprit pour avoir un moral de champion. 

Au contraire, si vous essayez de perdre du poids, c’est que vous essayez de reconquérir l’assurance que donne une bonne santé physique. 

Aussi le travail que vous faites sur votre corps, c’est un travail que vous faites dans votre tête, et pour cela, il n’y a pas raccourci, pas de subterfuge. 

Mais j’ai 2 bonnes nouvelles pour vous : 

La première, c’est que votre corps est fait pour bien fonctionner. Il faut juste qu’il retrouve son mode d’emploi intérieur. Ça passe par un travail sur soi, des souffrances modérées, mais saines. 

La seconde est qu’il existe un moyen naturel de brûler plus facilement ces graisses en jouant sur un mécanisme naturel bien plus ancien que notre corps humain – un mécanisme vital universel

Comment tourner le bouton « brûle-graisse » caché en vous

A propos du poids, il y a un mystère qui est longtemps resté insoluble : pourquoi avons-nous tendance à grossir avec le temps ? 

Parce que, même avec des journées plus actives que pendant notre jeunesse, nous avons tendance à accumuler l’énergie dans les bourrelets plutôt qu’à la brûler. 

C’est qu’en fait, lorsque nous sommes jeunes, notre corps est tout simplement en mode « brûle-graisses ». 

Alors que plus nous prenons de l’âge, plus il reste « coincé » sur le mode « accumulation ». C’est aussi simple que cela. 

Cela s’explique apparemment par le fait que brûler nos graisses use aussi nos cellules plus rapidement, et que notre corps, avec l’âge, réduit son renouvellement cellulaire pour privilégier la longévité. 

Mais quand nous voulons maigrir, nous ne cherchons pas à brûler nos graisses indéfiniment : nous voulons juste faire une cure minceur !

Pour cela, il suffit d’activer la production d’une petite enzyme : l’AMPK. Or il existe une plante qui est particulièrement efficace pour faire cela. 

L’herbe d’immortalité est aussi celle de la minceur

Le Jiaogulan est appelée l’herbe d’immortalité dans la tradition chinoise, et elle a mérité sa réputation !

Cette plante est objectivement extraordinaire : il a été prouvé qu’elle fait objectivement maigrir dans une étude récente. Elle est également efficace contre l’insulino-résistance chez les diabétiques de type II. 

En plus, elle a un petit goût de concombre qui a son charme (elle est de la même famille). 

Le Jiaogulan doit son surnom de plante d’immortalité au fait que, dans la province de Chine où elle remplace le thé vert, ses consommateurs atteignent une longévité très supérieure au reste du pays…

Mais cette plante a un petit inconvénient… Elle est extrêmement diurétique ! 

Au point de vous faire parfois lever plusieurs fois la nuit si vous n’avez pas l’habitude de vous faire une tisane (très) légère. 

Aussi, je prescris régulièrement, en lieu et place du Jiaogulan en tisane, un complément alimentaire 100% naturel, qui active nettement moins son potentiel diurétique, car il se révèle surtout lors de l’infusion… 

Ce complément alimentaire se nomme le Slim Extra

C’est le compagnon idéal si vous avez décidé de perdre sérieusement du poids dans les prochaines semaines. Pour y accéder, il suffit de cliquer ICI.

Ce remède s’attaque directement à la graisse viscérale

Un autre remède 100% naturel qui permet de se débarrasser de sa graisse ventrale est l’Adipomin

Il s’agit d’un remède composé d’extraits de 12 fruits et plantes, qui agit afin de privilégier la consommation de la graisse viscérale en priorité. 

Son fonctionnement est très simple : il agit pour soulager votre foie, qui permet de mieux gérer l’excès de graisse et de sucre. 

Ainsi, il favorise l’amélioration de votre santé et votre changement d’hygiène de vie. 

L’utilité de l’Adipomin est de faciliter la réactivation de votre métabolisme. En ce sens, c’est le complément parfait au Slim Extra, car il permet d’en dédoubler les effets. 

Car, même si vous décidez de changer de vie et de vous remettre en forme, votre corps, de son côté, a pris de mauvaises habitudes ! Et il n’entend pas s’en défaire du jour au lendemain. 

D’où l’importance de proposer deux remèdes pour pouvoir débloquer les formidables capacités brûle-graisse de votre corps, qui ont simplement oublié de se remettre en marche. 

Il existe à ce titre une offre combinée qui vous permet d’obtenir plus de 10% de réduction si vous optez pour les deux remèdes en même temps. Il suffit de cliquer ICI pour y accéder. 

Au plaisir de voir vos photos ! Car vous aussi, vous méritez d’être mince et dans la meilleure forme possible !

Dr. Thierry Schmitz

Sources

2 commentaires sur “Comment en finir avec votre bedaine

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