Covid long : remettez en marche vos poumons !
Chère lectrice, cher lecteur,
Mon plus proche collaborateur a été touché par la pandémie il y a plus d’un an. Il s’est donc mis à l’isolement, et en « télétravail ».
A l’époque, il était alors impossible d’effectuer des tests, donc on ne pouvait que supposer que mon collaborateur était atteint de la pandémie !
Rappelons tout de même 3 faits :
- Les tests PCR n’ont aucune valeur s’ils ne sont pas accompagnés d’un diagnostic médical
- On a poussé leur nombre de « tours » de vérification au maximum pour gonfler les statistiques (plus de 40 tours en France, environ 2 fois moins en Allemagne…). Donc il suffit qu’on vous trouve quelque chose qui ressemble vaguement au virus dans un coin de votre nez pour vous déclarer « malade », « contaminé ».
- La fameuse « pandémie » ne remplit pas les 4 postulats de Koch nécessaires pour la définir en tant que maladie indépendante.
Cela signifie
1/ que n’importe quelle grippe peut passer pour la pandémie, et
2/ que d’autre part, on peut à peu près mettre tous les symptômes qui sortent de l’ordinaire sur le dos de la pandémie.
Mais pourtant, mon collaborateur se trouvait en présence d’une maladie grippale bien réelle, et dont les symptômes duraient, même s’il n’était plus en danger…
Une maladie très probablement artificielle
Les symptômes de « covid long » sont très nombreux. Problèmes rénaux, de circulation, problèmes génitaux aussi…
La multitude des symptômes pourrait même laisser penser que nous sommes en face de plusieurs maladies et non pas d’une seule. Et bien des hypothèses peuvent être admises pour expliquer ce « covid long ».
Toutefois, le grand nombre de symptômes persistants est à mettre en rapport avec le caractère vraisemblablement artificiel de la maladie.
D’ailleurs, ce que les médias qualifiaient d’hypothèse « complotiste », il y a encore quelques mois, commence à être pointé par de nombreux indices, qui en font l’hypothèse la plus vraisemblable.
Pourquoi les journalistes y vont avec des pincettes
L’hypothèse selon laquelle la pandémie est issue du laboratoire de haute (in)sécurité de Wuhan est désormais tenue pour la plus certaine, tant par les professionnels sérieux que par les populations.
Pourtant, les journalistes se garderont bien de la soutenir, et la raison en est très simple.
Car s’il devait être effectivement prouvé que la pandémie est une maladie artificielle, on pointerait immédiatement le fait que Chine a été la grande gagnante économique de la pandémie.
Et on commencerait à se demander si cette « fuite » n’a pas été une attaque bactériologique à l’échelle planétaire, et donc si nous ne sommes pas déjà dans une 3e guerre mondiale qui ne dit pas son nom…
Pourtant, si les journalistes « officiels » ne vont pas jusque-là, ce sont eux qui nous ont mis la puce à l’oreille !
L’hypothèse du marché aux pangolins écartée
On se souvient de l’étonnant article du Figaro du 20 avril 20201 qui est toujours en ligne.
Le plus ancien quotidien français nous y rappelait que les autorités de santé françaises, qui avaient fait bâtir le labo, s’en étaient désolidarisés faute de respect des consignes sanitaires…
Cet article pointait encore le fait que les laborantins, par manque d’argent, vendaient quelques fois les animaux cobayes sur les marchés avoisinants… Et qui sait, peut-être au désormais fameux marché humide de Wuhan !
D’ailleurs, comme nous l’a rappelé le Daily Mail, un important journal anglais, les autorités chinoises ont assuré, dès le mois de mai dernier, que ce lieu de vente de pangolins et de chauve-souris n’était pas le lieu où était né la pandémie, mais seulement un lieu de transit pour la maladie2.
Cette déclaration a encore été récemment renouvelée, suite à l’enquête de l’OMS à Wuhan, qui exonère sans surprise la Chine de toute responsabilité vis-à-vis de la pandémie.
Ce qui n’est guère étonnant quand on sait que la « république populaire » est un important contributeur à l’OMS, très proche de son dirigeant actuel, Mr Ghebreyesus.
Ils « amélioraient » les virus pour le bien de l’humanité
Enfin, on se souviendra aussi que le laboratoire P4 de Wuhan avait reçu des fonds du ministère de la santé américain pour améliorer des virus 3 afin – d’après eux – de prévenir des épidémies.
Quand on sait que ce laboratoire est une véritable banque à virus, qui s’enorgueillit d’en posséder 1500 !
Mais les journaux américains se refusent évidemment à faire un lien entre les innombrables symptômes du covid long et ces fonds alloués par les autorités américaines pour faire « gagner des fonctions » à des virus déjà existants.
Car c’est une réalité : on a modifié des virus dans ces laboratoires pour les rendre plus dangereux, et aujourd’hui, on essaie de nous faire croire que c’était pour soigner !
Lors de la récente enquête de l’OMS, les autorités chinoises ont permis que les chercheurs mandatés rentrent dans le laboratoire non pas pour enquêter, mais seulement pour questionner le personnel4.
Et que dire de l’effacement de toute une banque de données de 300 études effectuées dans le laboratoire P4, au début de cette année, comme en atteste le parlementaire anglais Iain Duncan Smith au Daily Mail ?5
Un virus capable de tout ?
Rappelons-nous que ce que le virus de la pandémie est une maladie très rarement mortelle – moins d’une personne sur 200 qui en est atteinte en meurt.
Elle peut toutefois créer une situation critique, par un affolement de l’immunité, surtout chez des personnes qui ont eu des antécédents médicaux graves.
La plupart des patients que j’ai traités, atteints de « covid longs », c’est-à-dire de symptômes qui ont duré au-delà d’une période inflammatoire conséquente, se plaignaient
- D’une moindre capacité à respirer
- De douleurs dans les côtes
- De migraines et de nausées
- De fatigues récurrentes
- D’une immunité affaiblie
- De problèmes cardiovasculaires
- De douleurs dans l’appareil digestif
- De problèmes rénaux
En fait, puisque nous ne saurons probablement pas avant des décennies de quoi le virus de la pandémie est capable, presque tous les cas de figure sont envisageables.
D’ailleurs, assez récemment, l’éminent docteur Jean-Pierre Willem, dans le magazine Alternative Santé, a souligné la possibilité que le virus affaiblirait la barrière hémato-encéphalique, et pourrait à terme faire exploser le nombre de cas de malades d’Alzheimer…
Avant tout, protégez vos poumons
Même si nous ne savons rien de vraiment établi sur le virus, il semble qu’il s’attaque en priorité au système respiratoire et au système circulatoire. La plupart des symptômes que l’on attribue au « covid long » pourraient en découler.
N’oublions pas que l’obligation de porter le masque en plein air diminue aussi drastiquement les apports en oxygène, et que le sentiment d’angoisse généralisé n’améliore pas non plus la capacité respiratoire.
D’autre part, mes patients touchés m’ont fait part d’un mieux-être certain qu’ils avaient ressenti avec la prise de CoQ10, ou coenzyme Q10.
Cette substance très puissante et parfaitement naturelle, vous en avez peut-être déjà entendu parler dans les publicités pour les crèmes pour la peau, par exemple, car elle est utilisée en soutien du collagène.
Vous en consommez régulièrement si vous mangez de la viande rouge. En effet, la CoQ10 est le carburant des petites centrales électriques de nos cellules, les mitochondries. Et les cellules où il y a le plus de ces sont celles de votre cœur et de vos poumons.
CoQ10 : l’aliment pur de la respiration
Voilà qui explique peut-être pourquoi mes patients atteints du « covid long » voient la plupart de leurs symptômes immédiats fondre au soleil avec une cure de CoQ10.
Hélas, il arrive qu’il y ait des « rechutes », donc je ne saurais trop conseiller des cures régulières, si vous vous sentez atteints par ce mal méconnu.
Le corps absorbe de moins en moins bien la CoQ10 avec les années, et les carences peuvent s’accumuler dans le temps.
Ainsi, une alimentation carnée ne suffit pas au-delà de 60 ans pour subvenir aux besoins en CoQ10, d’autant que la viande nécessite beaucoup d’efforts pour que l’énergie qu’elle donne soit dépensée.
Voilà pourquoi je ne saurais trop vous conseiller de faire des cures de CoQ10 au moins une fois ou deux par an.
Bien sûr, je ne peux que vous conseiller la plus efficace de toutes, c’est-à-dire la CoQ10 liposomée, enfermée dans des capsules de phospholipides semblables aux parois de vos cellules.
Seules ces enveloppes sont capables de vous assurer un apport nutritionnel efficace à 99% !
Si cette CoQ10 liposomée vous intéresse, il suffit de vous en procurer en cliquant sur ce lien !
Et rappelez-vous de bien respirer !
Dr. Thierry Schmitz
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