Douleur : le cannabis ringardisé

Chère lectrice, cher lecteur,

Il ne se passe pas une journée sans que l’on nous vante les bienfaits du CBD, le cannabis « thérapeutique ».

Mais en vérité, le CBD reste du cannabis : il faut le consommer ou le manger, ce qui induit, sinon une ivresse, du moins une fatigue.

Je ne recommande pour ma part le CBD que pour arrêter la cigarette : c’est un substitut efficace au fait de fumer, et vous pouvez vous désaccoutumer progressivement…

Pour le reste, il existe beaucoup mieux que le CBD, un produit qui est 0% addictif, et qui n’implique aucune substance issue du cannabis.

Il s’agit du PEA (pour palmitoyléthanolamide). Outre son nom quasi-imprononçable, il s’agit d’un remède hors du commun.

Son principe est simple : rendre votre système nerveux plus sensible à l’atténuation des douleurs.

Là où le cannabis joue de façon exagérée avec les récepteurs nerveux de l’apaisement, le PEA, quant à lui, ne fait que les activer.

Ce qui permet d’avoir tous les effets de diminution de la douleur et du stress du cannabis sans le moindre effet secondaire.

Ni addiction, ni ivresse, ni recours à une substance à la limite de la légalité et… particulièrement odorante.

Pourquoi personne n’en parle ?

A cause du cannabis, bien évidemment.

Il y a eu tant d’efforts de la part des partisans du cannabis pour faire reconnaître ses effets pharmaceutiques, que l’on ne parle que de ça.

Mais aux Etats-Unis, par exemple, où le cannabis est beaucoup plus ancré dans la culture, la population est plus sceptique : elle sait qu’il s’agit d’un sujet politique.

Les fumeurs y savent pertinemment que le cannabis les ramollit économiquement, et même politiquement…

Sauf qu’en Europe, le débat n’en est pas encore à ce niveau. Pour l’instant, les partisans du cannabis jubilent : l’acceptation du CBD est une quasi-légalisation. Et cela arrange bien la police, qui a d’autres chats à fouetter.

Or le cannabis est particulièrement addictif, surtout aux doses auxquelles on le trouve aujourd’hui. Quant à la CBD, même sans ivresse, c’est un somnifère très puissant.

Ce qui n’est pas la panacée, si vous voulez conduire, ou vous livrer à des activités toniques, que ce sont en journée ou en soirée.

Le PEA, lui, agit beaucoup plus en profondeur, sur ces récepteurs même où joue le cannabis (appelés endocannabinoïdes).

C’est le traitement de fond, là où le cannabis est un traitement de surface qu’il faut activer avec une brutalité croissante…

Les études édifiantes s’empilent année après année

Mincir naturellement

Comme vous le voyez sur le schéma ci-dessous, il y a un cercle vertueux du PEA.

D’un côté, il y a la sensibilisation des récepteurs endocannabinoïdes qui vous permet d’atténuer vos douleurs de l’intérieur.

Cela permet de réduire l’inflammation, et donc, sans solliciter indument vos défenses immunitaires, vos tissus, habituellement attaqués par votre corps lui-même, peuvent se consacrer à se réparer.

Ce qui fait que le cercle de la douleur est brisé. Vous vous sentez mieux, et votre corps n’est plus sous tension, au garde-à-vous.

Dans certains cas, le PEA est arrivé à réduire la douleur de moitié, et il ne s’agit pas seulement des douleurs musculaires ou articulaires.

Presque toutes les douleurs chroniques sont concernées :

  • Douleurs pelviennes
  • Symptômes du canal carpien
  • Endométriose et douleurs menstruelles1,2
  • Migraines avec aura
  • Fibromyalgie et douleurs musculaires3
  • Lombalgie
  • Douleurs neuropathiques
  • Douleurs articulaires
  • Douleurs postopératoires
  • Douleurs cancéreuses
  • Douleurs dentaires

Ce prix Nobel avait tout compris

Une lauréate célèbre du prix Nobel de médecine, Rita Lévy-Montalcini, a été la première à étudier et à révéler les étonnantes capacités du PEA.

Depuis, les études n’ont cessé de se multiplier, et toutes en faveur de cette substance dont nous devrions tous connaître l’existence.

En 2012, pour les douleurs articulaires, il a été prouvé que le PEA était très supérieur à de hautes doses d’ibuprofène (1,8 grammes !)4

Et en 2023, une étude a fait la synthèse de l’ensemble des travaux sur la question. Ses conclusions sont édifiantes5 :

Six études ont montré une amélioration du sommeil, du bien-être, de la qualité de vie et de la capacité d’action.

9 études ont montré une nette diminution de la douleur.

Quant aux effets secondaires, ils sont pour ainsi dire nuls.

Le PEA se montre particulièrement efficace contre les douleurs inflammatoires et neuropathiques.

Cependant, s’il y a de très rares études qui n’ont pas été nécessairement concluantes pour le PEA, c’est en raison de sa mauvaise administration. Car le PEA, s’il est pris n’importe comment, n’a que peu d’effet.

La seule solution, pour avoir une efficacité parfaite, comme le reconnaît l’étude générale précédemment, c’est de prendre du PEA micronisé, c’est-à-dire enrobé dans une couche lipidique qui lui permet de passer parfaitement le tri intestinal6.

Bien sûr, il existe encore des chercheurs partisans de la non-micronisation du PEA, mais ils sont capables d’administrer des doses considérables à leurs patients, que vous ne trouverez pas dans le commerce7

Pour le reste, toutes les autres études indiquent la supériorité de la micronisation pour une efficacité optimale du PEA.

Pour du PEA d’excellence, il n’y a qu’un seul moyen

S’il faut microniser le PEA, cela ne se fait pas n’importe comment. Il faut que ce soit avec les meilleures lipides disponibles, et pour l’instant, vous ne les trouvez que chez Perfect Health Solutions.

Ils enrobent le PEA avec des acides gras à chaîne moyenne qui se dissolvent rapidement une fois passée la barrière intestinale, mieux que les triglycérides à longue chaîne qui risquent de ne pas libérer leur contenu.

Contrairement à ces derniers, ils n’ont pas besoin de bile pour être dissous. Ils s’absorbent rapidement, et votre corps les utilise tout de suite.

A cette fin, ce PEA dont j’ai supervisé moi-même la fabrication est constitué de lécithine de tournesol non-OGM, riche en phosphatidylcholine, cette graisse dont votre corps a besoin pour fabriquer les parois de vos cellules.

Il n’existe pas de meilleure absorption. Avec un tel enrobage, on arrive à un titrage maximal de PEA, soit 40% d’élément actif dans cette pochette sous-vide spécialement conçue à cet effet.

Chaque pression d’un millilitre équivaut à 384 mg de PEA optimisé, garanti de pénétrer et d’agir dans votre organisme pour diminuer y réduire la douleur au minimum. 

Si vous voulez tout savoir sur ce PEA que je prescris depuis maintenant plusieurs années (et vous en procurer), cliquez ICI.

J’attends que vous m’en donniez des nouvelles avec impatience.

Portez-vous bien,

 Dr. Thierry Schmitz

Sources

[1] Ghafouri N, Ghafouri B, Larsson B, Stensson N, Fowler CJ, Gerdle B. Palmitoylethanolamide and stearoylethanolamide levels in the interstitium of the trapezius muscle of women with chronic widespread pain and chronic neck-shoulder pain correlate with pain intensity and sensitivity. Pain. 2013 Sep

[2] Indraccolo U, Favilli A, Dell’Anna A, Di Francesco A, Dionisi B, Giugliano E, Murina F, Stocco E. Looking for Responders among Women with Chronic Pelvic Pain Treated with a Comicronized Formulation of Micronized Palmitoylethanolamide and Polydatin. Biomed Res Int. 2022 May 7;2

[3] Schweiger V, Martini A, Bellamoli P, Donadello K, Schievano C, Balzo GD, Sarzi-Puttini P, Parolini M, Polati E. Ultramicronized Palmitoylethanolamide (um-PEA) as Add-on Treatment in Fibromyalgia Syndrome (FMS): Retrospective Observational Study on 407 Patients. CNS Neurol Disord Drug Targets. 2019

[4] Marini I., Lavinia Bartolucci M., Bortolotti F., Rosaria Gatto M., Alessandri Bonetti G. Palmitoylethanolamide versus a nonsteroidal anti-inflammatory drug in the treatment of temporomandibular joint inflammatory pain. J. Orofac. Pain. 2012;26:99.

[5] Lang-Illievich K, Klivinyi C, Lasser C, Brenna CTA, Szilagyi IS, Bornemann-Cimenti H. Palmitoylethanolamide in the Treatment of Chronic Pain: A Systematic Review and Meta-Analysis of Double-Blind Randomized Controlled Trials. Nutrients. 2023 Mars 10

[6] Impellizzeri D., Bruschetta G., Cordaro M., Crupi R., Siracusa R., Esposito E., Cuzzocrea S. Micronized/ultramicronized palmitoylethanolamide displays superior oral efficacy compared to nonmicronized palmitoylethanolamide in a rat model of inflammatory pain. J. Neuroinflamm. 2014

[7] Pickering E, Steels EL, Steadman KJ, Rao A, Vitetta L. A randomized controlled trial assessing the safety and efficacy of palmitoylethanolamide for treating diabetic-related peripheral neuropathic pain. Inflammopharmacology. 2022 Dec

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