La douceur de vivre de l’automne
Chère lectrice, cher lecteur,
Quel plaisir, une fois rentré chez soi après une promenade vivifiante, de sentir la chaleur du foyer, et les bonnes odeurs des fourneaux !
Certes, nous auront peut-être des coupures d’électricité, des pénuries de gaz et j’en passe…
Mais qu’est-ce qui vous interdit de vous acheter une bouteille de gaz d’avance pour être sûr de pouvoir vous réchauffer avec un bon bouillon ?
Ou alors de vous réfugier sous la couette avec votre bien-aimé(e) pour vous tenir chaud ?
Le sauna, ce fortifiant venu du nord
Nombre de mes amis me confient avoir plus de mal à se rendre en salle de sport quand vient l’automne. C’est bien normal ! On a moins envie de faire de l’exercice, et plus envie de dormir.
Mais si votre salle de sport contient un sauna, ou un hammam, n’est-ce pas le moment idéal pour se réchauffer dans une étuve ?
Cela fait une belle récompense pour s’être livré à des exercices qui sont parfois un vrai défi, lorsque le sommeil est insuffisant ou troublé.
Toutefois, c’est en continuant à faire de l’exercice que vous trouvez l’énergie nécessaire pour affronter la morne saison.
Quant au sauna, il a été prouvé qu’il améliore la résistance du cœur et qu’il est particulièrement recommandé aux professions qui subissent un stress important – comme les pompiers et autres militaires, par exemple.[1]
Le sauna est également recommandé pour la prévention des maladies cardiovasculaires et pulmonaires.[2]
Toutefois, il n’est pas du tout recommandé de boire de l’alcool à cette occasion, et encore moins seul !
Retrouvez facilement le sommeil
Il y a une règle à suivre dans tous les cas, lorsque vient la saison froide, c’est d’aller dormir tôt !
On dort rarement trop la nuit, et c’est de la durée de votre sommeil que dépend la qualité de vos journées.
Bien sûr, je reste un adversaire résolu des somnifères, qui sont de véritables poisons, et à proscrire dans tous les cas.
Toutefois, il arrive que, malgré les longues soirées d’automne, il soit bien difficile de trouver le sommeil.
Et, hormis les soucis, présents toute l’année, cela est dû à quelques facteurs simples :
- Le manque d’exercice
- Une exposition trop soutenue à la lumière bleue des écrans
- Une difficulté à s’adapter au manque de lumière extérieure
Je ne peux que vous recommander de vous livrer à des exercices physiques et à des marches soutenues, quitte à vous couvrir très chaudement en cas de pluie ou de grand froid.
Vos cycles de sommeil dépendent de votre exposition à la lumière bleue (une fréquence d’onde précise) diffusée par le soleil.
Voilà pourquoi, lorsque vous regardez les écrans de téléphone, de tablette ou d’ordinateur, votre sommeil peut être troublé.
D’où l’importance de porter des filtres anti-lumière bleue sur vos lunettes, d’éteindre vos appareils au moins une heure avant d’aller dormir, et d’en profiter pour lire au lit.
Je connais également beaucoup de partisans de la mélatonine, qui est l’hormone du sommeil.
Pour ma part, je reste très prudent sur la prise d’hormones, car l’équilibre hormonal est un sujet très délicat. Je vous recommande d’aller consulter un endocrinologue avant toute cure.
D’autre part, il y a aussi la luminothérapie, que vous pouvez exercer sur vous grâce à des lampes spécialisées (elles ont un grand succès en Scandinavie !).
Ces lampes ont l’avantage de vous empêcher de succomber à la déprime saisonnière, si fréquente par manque de lumière.
De plus, en imitant une belle lumière du jour, elles peuvent remédier à un rythme de sommeil déréglé.
Le régime, ce n’est pas en automne
Qui ne fait pas « attention à soi » au printemps, afin de se présenter sous son meilleur jour sur les plages en été ?
Cela se comprend… Mais il arrive aussi qu’après un été festif, on cherche à perdre du poids en automne.
Si c’est là votre idée, je vous déconseille vraiment un « régime » hypocalorique – qui consiste à manger drastiquement moins que d’habitude.
D’ailleurs, même si je vous recommande toujours de surveiller votre consommation de glucides et de lipides, je pense qu’il vaut mieux privilégier un métabolisme actif.
Bien des gens préfèrent réduire leurs rations plutôt que de faire de l’exercice. Je vous dirais plutôt que c’est l’exercice qui doit commander à votre façon de manger…
Quand vous êtes tonique, vous ressentez moins de baisses de moral inopinées, et moins de besoins de compenser par des nourritures « de confort », très sucrées, en somme.
Ensuite, c’est à vous de trouver les exercices qui vous conviennent le mieux, et même les appareils de sport qui vous correspondent, si vous restez chez vous.
L’essentiel est de faire quotidiennement des efforts, c’est-à-dire de stimuler votre rythme cardiaque, et de faire régulièrement une bonne suée.
C’est la saison du potiron !
Je suis un fervent partisan de la soupe, car elle vous permet de vous réchauffer, tout en faisant le plein de nutriments. C’est donc, avec le pot-au-feu, l’un des aliments idéaux pour la saison froide.
Même si les légumes d’automne ont cette curieuse réputation d’être moins riches en vitamines et en minéraux que les légumes d’été, je vous assure que ce n’est pas le cas.
Avec une température adéquate, vous gardez intactes toutes leurs valeurs nutritionnelles.
Le poireau est l’un de mes aliments d’automne favoris. Il est de la même famille que l’ail et l’oignon. Plein de kaempferol, il est fortement antioxydant, donc anticancer et antiâge.
Il est également riche en vitamine K – qui un puissant fortifiant des os – ainsi que de lutéine et de zéaxanthine, des caroténoïdes indispensables pour la santé de vos yeux.
Un peu piquant, voire même pétillant quand il est frais, le poireau se marie plutôt bien avec le potiron.
Le potiron est riche en vitamine A, elle aussi nécessaire au maintien de la bonne santé des os, mais aussi en vitamine C et en antioxydants.
À ce titre, le potiron est hautement recommandé par les femmes qui font attention à la santé de leur peau ![3]
C’est l’heure de la soupe !
Pour une bonne soupe aux poireaux et aux potirons, il vous faut des poireaux lavés, épluchés, émincés, de même que des potirons épluchés et coupés.
Faites fondre un peu de beurre dans une cocotte, de façon à faire un peu « suer » les poireaux – à feu doux bien sûr !
Rajouter les potirons, ainsi que 5 gousses d’ail, et 1 litre et demi d’eau. Salez à votre goût et faites monter un peu la chaleur, mais pas trop, pour bien conserver les nutriments.
Il faut au moins faire cuire une demi-heure à feu doux pour avoir un bon résultat. Passez la soupe au mixeur, et vous pouvez la faire réchauffer quand vous le voulez !
Vous commencez ainsi l’automne du bon pied, et le ventre bien chaud !
Dr. Thierry Schmitz
Bien le bonjour Docteur Schmitz, merci de tout coeur de rédiger votre lettre dominicale, elle donne envie de vous rencontrer, grâce à vous, j’ai acheté un YDROGEN20, je vous ferai part de mon expérience.La découverte de vos merveilleux magazines m’enchantent et sont un support précieux pour compléter l’utilisation de mon INTROSPECT METATRON qui équilibre l’énergie du corps de mes “amis” et autres. Restons joyeux et émerveillés, partageons notre lumière intérieure. Notre seul trésor. On ne va nulle part et on y va très vite, vos lettres positives nous aident à retrouver notre essentiel. Merci beaucoup.
Merci pour vos conseils gratuits. lettre agréable à lire et surtout qui ne propose pas de produits à acheter ou ne dirige pas vers un site marchand …
VIVE LES SOUPES FAITES AVEC DES LEGUMES FRAIS on peut prendre des légumes pas très beaux pour faire de bonnes soupes
Merci pour toutes ces informations bien utiles et pour la recette potiron poireaux ?
Merci pour ses bons conseilles et ses recettes simples Amicalement
Honneur à vous pour ces judicieux conseils . Vous faites ainsi œuvre utile et œuvrez pour la santé publique .