
Le cerf-zombie : pandémie ou film d’horreur au rabais ?
Le cerf-zombie : pandémie ou film d’horreur au rabais ?
Chère lectrice, cher lecteur,
Dans les années 90, il y avait eu la maladie de la vache folle… qui résultait de viande que l’on avait fait manger à des herbivores sous forme de farine « animale ».
On se rendait bien compte que l’ordre de la nature était bouleversé, mais il était plus important de nous faire peur que de résoudre le problème…
Problème qui a d’ailleurs fini par être résolu en revenant à la raison – donc en interdisant les farines animales pour les herbivores.
Et puis, il y a eu la folie de la crise sanitaire… et désormais, du bout des lèvres, les autorités admettent que le virus était issu de manipulations en laboratoire.
Vous et moi le savions déjà – depuis trop longtemps.
Par conséquent, les paniques artificielles que l’on essaie de nous inoculer ont tendance à moins bien fonctionner qu’auparavant, parce que la panique a laissé place à la colère.
Nous SAVONS qu’à chaque épidémie animale dont nous entendons parler, on essaie de nous vendre :
- Au mieux, un nouveau produit expérimental pour les humains, et sinon, pour les animaux, que nous consommerons avec leur chair
- Au pire, des protocoles sanitaires qui visent à réduire notre pouvoir d’achat, nos libertés, quand il ne s’agit pas de mettre en place une dictature déguisée pour une période indéfinie…
Et pourtant, cela n’empêche pas les autorités de recommencer tout le temps. La créativité des médias, alliée à la servilité à Big Pharma, est décidément sans limite !
D’ailleurs vous n’avez pas entendu parler de la dernière…
Vous aviez même oublié la variole du singe
L’année dernière, il y avait eu la variole du singe. Rapidement, les réseaux sociaux l’avaient tournée en dérision. La monkeypox (de son petit nom anglais), était ainsi devenue moneypox, la variole de l’argent (de Big Pharma).
Toute le monde avait bien compris qu’il s’agissait de vendre de nouvelles injections expérimentales, et de faire tourner à plein la machine de l’industrie médicale.
Maintenant, à chaque maladie nouvelle qui apparaît dans un troupeau subissant les conditions d’élevage aussi modernes qu’atroces, un stagiaire en journalisme se fend d’un petit texte n’ayant d’autre but que de vous faire paniquer.
En août dernier, c’était la fièvre catarrhale ovine[1] ; en novembre, c’était la rhinopneumonie du cheval[2] ; et peu importe si plus personne ou presque n’en mange…
Mais ces derniers temps, ils ont fait très fort. Ils nous ont sorti un scénario qui touche au fantastique, voire à la sorcellerie vaudou : celle du cerf-zombie.
Rassurez-vous, il ne s’agit que de cerfs atteints d’une maladie assez semblable à celle de la maladie de la vache folle, où une petite protéine, le prion, transformait le cerveau en éponge.
D’où le nom d’encéphalopathie (maladie du cerveau) spongiforme (en forme d’éponge) bovine…
Il aurait été intéressant de voir si les chasseurs, d’ordinaire prompts à laisser beaucoup de nourriture pour laisser les bêtes sauvages se multiplier, n’ont pas égaré quelques farines animales vendues au rabais.
Après tout, on les utilise toujours pour les élevages de poisson par exemple…
C’est devenu ridicule
C’est un fait : le secteur médical est désormais une industrie. Mais l’attachement des Français à un service public de santé fort fait que celui-ci est à encore moitié intégré dans l’État.
Il y a ainsi d’un côté, la santé publique, celle des médecins, des centres médicaux, des hôpitaux, qui est de plus en plus en déshérence, minée par des réformes contreproductives comme la tarification à l’acte (T2A).
Et de l’autre côté, il y a l’industrie pharmaceutique, qui bénéficie du système de santé des Français. Le but pour les politiques est de faire en sorte de privilégier cette industrie sans que le système de santé ne devienne trop intenable.
Cependant l’UE, en France comme partout ailleurs en Europe, pousse à la privatisation à tout crin, ce qui permet aux politiques de se dédouaner de favoriser le secteur privé : « c’est l’Europe ! » clament-ils haut et fort.
D’où l’importance de chaque épidémie, si on parvient à la monter en pandémie capable de susciter une panique nationale, elle-même ouvrant la voie à des mesures « exceptionnelles ».
Celles-ci sont dès lors favorables aux laboratoires pharmaceutiques (qui lancent leurs produits expérimentaux) et aux politiques qui en profitent pour favoriser toujours plus le secteur privé…
On nous invente des maladies tout le temps
Nous avons mentionné que la maladie de la vache folle, et probablement aussi celle du cerf-zombie, sont directement liées à un traitement honteux des bêtes.
D’autre part, nous savons que la maladie de Lyme est issue d’un laboratoire bactériologique, et qu’il en a été de même du Covid19.
Sans compter que l’on peut vous créer des maladies à partir de troubles physiologiques qui n’en sont pas.
Ainsi, il existe désormais le « pré-diabète » qui implique un traitement immédiat sur lequel il y aurait beaucoup à dire. Ou encore le syndrome métabolique, qui n’est qu’un dérèglement du corps en situation d’obésité.
La dégénérescence due à la vieillesse a commencé à être considérée comme une maladie, et c’est maintenant le vieillissement lui-même du corps qui commence à être considéré comme pathologique.
Il en va ainsi de la ménopause ou de la fonte des muscles (sarcopénie…)
Au point où il est presque impossible de déceler s’il y a effectivement une santé durable possible, ou si notre corps doit être sans arrêt surveillé, contrôlé et remis sur le droit chemin.
Derrière le film au rabais, l’État policier
Dans un État policier, le citoyen normal a toujours quelque chose à se reprocher. Il doit craindre la police parce que la police peut trouver quelque chose sur lui. Et c’est la raison pour laquelle il ne se révolte pas.
Il a trop peur.
Mais nos gouvernants sont plus malins et plus avides, ils ont compris que l’individu pouvait intérioriser sa peur, afin ne plus remettre en cause l’ordre établi. Il suffit de lui faire peur tout le temps.
Cela coûte moins cher en termes de répression, cela rapporte à l’industrie pharmaceutique et, par leurs lobbies, aux politiques eux-mêmes – par exemple dans le cadre de l’UE où la corruption est institutionnalisée.
C’est quand même plus « propre » que de recevoir des dessous de table de l’industrie pharmaceutique…
Et encore mieux, cela permet aux politiques de faire preuve de l’incurie la plus totale : élevages fous, armes bactériologiques libérées par négligence, système de santé laissé à l’abandon ou livré à la technocratie la plus absurde…
Lorsque l’on effraie sans arrêt les individus, lorsque vos propres montres connectées vous permettent de vérifier votre état de santé en temps réel, vous ne voyez plus que vous-mêmes, et vous ne voyez pas le contrôle que l’on exerce sur vous.
C’est la raison pour laquelle on nous lance, par négligence ou par complaisance une nouvelle épidémie tous les trois mois.
« Dormez bien, brave gens, vous avez échappé à la dernière pandémie… qui n’existe que parce qu’on l’a laissée exister. »
Mais pour de vrai, méfiez-vous des journaux gratuits, il n’en émane qu’un sentiment de terreur, et privilégiez la presse indépendante.
Ce n’est pas l’évènement qui importe, c’est le contrôle qu’il permet qui compte.
Portez-vous bien,
Dr. Thierry Schmitz
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