Chère lectrice, cher lecteur,

Je me souviens de ma tante Sophie, qui passait des heures, voire des journées entières enfermée dans sa chambre, dans le noir le plus complet. 

Ce qui n’a pas été sans incidence sur sa vie de famille, naturellement, qui en a été rendue très compliquée. 

La migraine peut être un fardeau, surtout lorsqu’elle revient souvent, qu’elle crée des douleurs intenables et paraît invincible. Ma pauvre tante Sophie en perdait parfois le sommeil pendant de longs mois. 

C’est naturellement à elle que j’ai pensé lorsque des années plus tard, des patients sont venus me consulter pour des problèmes similaires…

La formule idéale, issue d’études scientifiques « béton »

J’ai alors cherché la formulation idéale, celle-là même qu’aujourd’hui, Perfect Health Solutions (PHS pour les intimes) a créé pour mes patients. 

Ce remède 100% naturel s’appelle PHYTOMIG, et les résultats sont, comme au premier jour, à la hauteur des attentes de mes patients, qui ont particulièrement apprécié ma prescription. 

Une bonne partie d’entre eux a réussi à être guérie des migraines ; une autre en recommande régulièrement, car elle en est apaisée. 

J’aimerais vous dire que la migraine, c’est une question de mode de vie, mais la vie est parfois beaucoup plus injuste et aléatoire que ça. 

Le mieux que l’on puisse faire, en tant que médecin, est de comprendre et, faute de soigner, d’apaiser autant que possible avec les remèdes les plus fiables. 

Et souvent, avec de la patience et de l’effort, ça marche !

Ne vous laissez pas isoler dans le noir

La migraine chronique, ce sont des crises répétées de puissants maux de tête que l’on nomme d’après le grec ancien du joli mot de « céphalées ». 

Il s’agit en tant que tel d’une maladie neurologique qui touche 15% de la population mondiale. 

Elle serait liée autant à des facteurs génétiques que environnementaux. La violence des douleurs peut rendre impossible le travail, par exemple. 

C’est une maladie qui touche 20% des femmes, 10% des hommes et 5% des enfants. Il en existe 2 sortes : sans aura ou avec aura. 

Avec aura, cela veut dire accompagnées ou précédées de troubles neurologiques transitoires. 

La migraine sans aura, la plus courante, dure de 4 heures à 3 jours sans traitement, avec des nausées, des vomissements, une hypersensibilité à la lumière et au bruit (photophobie et phonophobie). 

Elle ne se manifeste que d’un seul côté du crâne, et l’on sent les battements du cœur dans la tête. 

La douleur est si intense qu’elle implique que l’on bouge le moins possible. D’où le besoin irrésistible de se coucher. 

Le diagnostic de migraine ne peut être porté qu’après plusieurs crises : au moins 5. Dans 30% des cas, la douleur se manifeste des deux côtés du crâne. 

Dans 20 à 30% des cas il s’agit d’une migraine avec aura, c’est-à-dire accompagnée d’un trouble neurologique transitoire (visuel, langagier, sensitif, verbal, moteur). Chaque symptôme d’aura dure de 5 minutes à 1 heure. 

1 à 2% de la population présente des migraines chroniques. Cela veut dire qu’elles apparaissent plus de la moitié du temps chaque mois depuis au moins 3 mois. 

La nature soigne même les migraines (mais personne ne la consulte)

Certains facteurs déclenchants sont contrôlables. 

Il s’agit : 

• Des variations émotionnelles
• D’un surmenage, d’un relâchement ou d’un effort physique plus intense qu’à l’habitude
• D’un manque ou d’un excès de sommeil
• D’une variation hormonale
• D’un changement climatique soudain 
• D’une exposition sensorielle intense, comme un éblouissement ou des odeurs trop fortes
• D’excès alimentaires

Toutefois, les stratégies d’évitement trop radicales ne font qu’accroître la fragilité du patient. Le facteur le plus intense reste les règles. 

Depuis les années 1940, les chercheurs pensaient que les migraines étaient liées à la dure-mère, l’enveloppe méningée la plus externe, qui recouvre la voûte et la base du crâne. 

Mais il semblerait que la pie-mère, située sous la dure-mère, soit également impliquée. Aucun traitement médicamenteux ne parvient aujourd’hui à éliminer la migraine. 

Les seuls traitements médicaux actuels consistent à diminuer la fréquence et l’intensité des crises avec des antidouleurs et des anti-inflammatoires, généralement nocifs pour le foie, comme le paracétamol. 

Il existe aussi des céphalées dues à des abus médicamenteux. Dans tous les cas, évitez autant que possible les antidépresseurs et autres anxiolytiques. 

Pour ma part, j’ai réussi à traiter la migraine avec des remèdes naturels. Et contrairement à ce que disent d’ordinaire les médecins, ils ont fait leurs preuves. Des études en attestent. 

Les peintres de jadis connaissaient ce qui apaise

Ce traitement que je prescris chaque semaine au moins, s’appelle PHYTOMIG : phyto, pour les plantes, et mig, pour la migraine. 

Il contient trois ingrédients qui ont très largement fait leur preuve, si bien que la science médicale les a pour ainsi dire consacrés, même si en France, ils sont pour ainsi dire inconnus. 

PHYTOMIG permet de soulager la fréquence et l’intensité des migraines. 

Toutefois, il marche différemment selon les patients. Car la migraine dépend de prédispositions génétiques et certainement épigénétiques. 

Cela signifie que de naissance, chacun est sensible aux migraines selon sa propre nature, mais que ces prédispositions peuvent varier avec le temps, au gré du mode de vie de chacun.

L’essentiel est que le PHYTOMIG parvienne au moins à vous soulager. 

Vous y trouverez de la grande camomille dont l’action sur les migraines est reconnue depuis des millénaires, mais a été reconnue par la science plutôt récemment¹.

Ainsi, une étude de 2018 a montré qu’une formulation à base d’huile essentielle de grande camomille ont réduit « significativement » la douleur, les nausées, les vomissements, la phonophobie et la photophobie. 

Or il se trouve que la grande camomille possède une synergie particulière avec un autre arbre fort joli, qui avait la faveur du grand peintre de paysage anglais du XVIIIe siècle, Thomas Gainsborough : le saule blanc. 

Le peintre parisien Jean-Baptiste Corot, qui fut l’un des plus éminents artistes du XIXe siècle, peignait lui aussi les saules blancs de façon admirable. 

Il se trouve que le saule blanc comme la grande camomille, que ce soit seuls ou séparément, sont REDOUTABLES contre la migraine. 

Mieux encore, combinés ensemble, ils parviennent à des résultats exceptionnels sur la migraine sans aura : une réduction des crises de 57,2% sur 6 semaines, et de 61,7% à 12 semaines².

De tels résultats auraient dû faire la une des journaux, quand on sait que tant de gens souffrent de la migraine !

 Mais les chercheurs français, trop passionnés de génétique et d’antidépresseurs, ne se sont guère penchés dessus. A tort ! 

Car il n’y a eu aucun effet secondaire à signaler… 

Traitez bien vos nerfs, ils vous le rendront

La migraine, nous l’avons mentionné, est une maladie nerveuse, issue d’une excitation excessive – au sens le plus matériel du terme – de certaines zones cérébrales. 

Ce que je vois, c’est que la camomille est apaisante, et que le saule blanc l’est aussi – rien que de le regarder est apaisant ! 

Voilà pourquoi je tenais à rajouter – avec un certain succès qui ne s’est pas démenti – un autre ingrédient à même d’apaiser votre système nerveux : le nard de l’Himalaya. 

C’est une plante qui est réputée depuis l’Antiquité pour ses qualités médicinales et que l’on retrouve même mentionnée dans la Bible – c’est ainsi qu’elle a fait sa réputation. 

Il a été prouvé scientifiquement qu’elle est antioxydante, antistress³, et c’est pour cela qu’elle peut accompagner la camomille et le saule blanc. 

Comme il augmente significativement la production de taurine, le nard de l’Himalaya aide à protéger votre organisme. 

Mais en plus, il ne vous fatigue pas, ni n’induit de nervosité excessive. Ce qui est important si vous devez vous concentrer tout au long de la journée.

Le Phytomig peut donc être utilisé sans aucun danger. Si vous voulez vous en procurer à des prix dégressifs et avantageux, il vous suffit de cliquer ici.

Portez-vous bien, en espérant que vous maux de tête cesseront de vous gâcher la vie,

Dr. Thierry Schmitz